La France violente

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De janvier à juin 2021, les violences ont crû de manière considérable au point de dépasser le niveau atteint lors de la crise des Gilets jaunes en 2019. En seulement six mois, quelque 350 000 agressions ont été constatées. (Le Figaro). Au premier semestre 2020, le chiffre descendait à 300 000 agressions. Il s’agirait donc d’une hausse inquiétante de +16% par rapport à l’année précédente. 

Pas étonnant, rétorquent d’aucuns : Covid, confinement, mauvaise humeur, frustrations etc. Et puis et surtout, la peur du policier n’existe plus. Faut dire qu’on n’en voit plus beaucoup, certains même se cachent une fois leur service terminé. Les juges, n’en parlons pas ! moins ils en font, mieux il se portent et comme il n’y a plus de place dans les prisons, autant laisser les délinquants dehors …
A ce rythme, on va finir comme le Brésil : une société « créolisée », certes, mais profondément divisée où il ne fait pas bon aller dehors sans son flingue et ses gardes du corps. On sait que monsieur Macron rêve de nous voir tous baigner dans un bain de cultures différentes voire antagonistes, « sources d’enrichissement » à l’instar de ses potes bobos, monsieur Mélanchon de même. Mais ne rêvons pas, des sociétés hétérogène sont sources de conflits, de violences et d’insécurité permanente.

Ne nous voilons pas la face et disons les choses crûment : la sécurité baisse car des strates entières de la société sont gangrenées par des trafics illégaux qui les confrontent tous les jours aux forces de l’ordre. Des quartiers sont le domaine réservé de gangs qui souvent se font la guerre à coup d’armes automatiques. Les forces de police sont sur la défensive quand elles pénètrent dans ces zones de non-droit, ce qui est est un comble et rien n’indique que dans un avenir proche la situation puisse s’inverser.
Quand sur son territoire on laisse proliférer des gens qui manifestement ne veulent ni ne peuvent s’assimiler à nos valeurs et style de vie, voilà où l’on en arrive.
Et quand nos édiles font tout pour que nous détestions ce que nous sommes et fûmes, l’avenir est derrière nous …

Tokyo : le crépuscule des Jeux

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Les Jeux Olympiques, c’était avant, aujourd’hui Tokyo nous en présente une version pudique célébrée par des athlètes confinés dans leurs chambres spartiates, un public étranger interdit et des Japonais révulsés par ce passe-temps d’un autre âge. Il faut être lucide, les Jeux de Tokyo sont les derniers et le coeur n’y est plus.

Trop chers, trop enflés par une myriade de disciplines grotesques (cyclo-cross, pétanque, trampoline etc ..) les Jeux ne sont plus qu’une entreprise commerciale de divertissement pseudo-sportif financée par des parrains déboursant une fortune pour que leur marque soit à l’honneur. Impayable pour le commun de la troupe, ce sont, par conséquent, toujours les mêmes.
Le coût des Jeux est aussi prohibitifs et facteur de déficits qui mettent des lustres à être épongés. Voyez Montréal, Athènes et tant d’autres. Ce passe-temps était bon pour les années faciles, aujourd’hui, le Covid et la crise financière qui en découlera remettront les pendules à l’heure.

Après Los Angeles, seul un (1 !) candidat s’est présenté: Brisbane (c’est en Australie) il fut bien évidemment choisi !

Ne ratant aucune occasion de se faire voir, le président Macron est allé au Japon déverser sa logorrhée d’auto-satisfactions narcissiques.

A droite, un autre bombe le torse, Xavier Bertrand, petit bonhomme ventripotent pour qui la France est en danger à cause du Rassemblement National, ce qui l’oblige à faire don de sa personne. Ce petit rat des Loges ferait rire s’il n’était aussi nul et pernicieux ! Une autre, à défaut de poitrine, exhibe ses cuisses; Valérie Pécresse, revenante de ces temps médiocres où Sarkozy exhibait sa morgue et son mannequin givré.

Il y en a qui regrettent que le Covid soit si inoffensif. Le temps des purges, d’après eux, serait salutaire et même indispensable.

Nous leur laissons l’entière responsabilité de cette affirmation.

Lourdes : Macron en « respectueuse »

Avec Macron on allait avoir une république exemplaire. François Bayou, ministre un jour ou deux en 2017, avait dû démissionner après une mise en examen pour financement abusif de son parti … dehors, François ! Aujourd’hui, c’est Dupont-Moretti qui subit le même sort de la part de la Cour de justice de la République, une première, du jamais vu !

Eh bien, il ne démissionne pas ! Il est, certes, présumé innocent, mais une jurisprudence constante voulait qu’un ministre inquiété par la justice quittât ses fonctions pour se « consacrer à sa défense » selon la formule d’usage et l’engagement de Macron en 2017. Là, non ! Le premier ministre lui renouvelle sa confiance et le président Macron de même. Verba volant …

Macron est même allé à Lourdes. Prier pour la France ou le salut de son ministre de la Justice ? Que non ! Cela puait la campagne électorale aux frais du contribuable., il voulait se ménager les cathos après l’adoption de la procréation médicalement assistée et toutes les rosseries qu’il leur a infligées depuis quatre ans. L’ancien élève des Jésuites a de la casuistique des connaissance dévoyées mais utiles. Un quidam ne s’est pas prêté à son jeu pervers et lui a crié au visage qu’un athée compulsif dans son genre n’avait rien à faire dans ce sanctuaire religieux. Il fut embarqué de force par des services des sécurité particulièrement agressifs. En Corée du Nord on ferait pareil.
Jamais plus brutal président de la république ne sévit autant. Manifestement, il ne supporte pas d’être contredit, contré, remis en place. L’Ancien Régime avait encore le respect des convenances, lui non, mais il est vrai que l’Histoire de France il ne connaît pas.
Après les cathos, attendez vous a des visites de politesse aux francs-maçons, responsables homosexuels, lesbiennes, transgenres et autres zoophiles branchés.

Se vendre comme ça, sans vergogne, même une pute ne le ferait pas.

Il est vrai qu’elle est respectueuse !

Illustration : Manara

Cannes : une « Titane » scato

A Cannes, la palme d’or a été attribuée à un film réalisé par une femme. Pourquoi pas ? Sauf que, dès l’ouverture du festival, il a été annoncé que les prix seraient décernés en fonction des « valeurs » défendues par les réalisateurs. Ces dernières, vous vous en doutez sont : le métissage, le mondialisme, le féminisme, l’homosexualité triomphante, le transgenre provoc et l’avortement festif.
Pas étonnant, dès lors, qu’un film qui raconte l’histoire d’une femme hyperviolente qui, pour échapper à ses poursuivants, se déguise en homme et commet un tas de saloperies plus gore les unes que les autres, au poInt de faire vomir ou s’évanouir certains spectateurs qualifiés, cela va de soi, d’âmes sensibles imperméables à la « beauté explosive » qui se dégage de cette « œuvre ».
« Titane », car tel est son nom, est un monceau de provocation grossières et scatologiques qui, sous prétexte d’illustrer le féminisme régresse la femme au stade où Oskar Weininger (Sexe et Caractère) écrit : « La plus supérieure des femmes sera toujours inférieure au plus inférieur des hommes ». Et l’ensemble de cette exhibition d’abjectes sanies mise en scène par une déjantée, illustre le propos du même auteur : « Le féminisme consiste à faire d’une femme un homme tout en restant femme ».
Présidé par Spike Lee, excellent acteur quand il est dirigé, mais caniche fou une fois sans laisse, les jurés ont donc obéi aux diktats de la bien pensançe progressiste etc …
Ce qui n’est pas étonnant dès lors que notre civilisation fout le camp, poignardée par ceux-là même qui lui doivent le plus.
« Titane », commis par Julia Ducourneau. Un nom a retenir, il y a des choses qui se paieront plus tard.
A prix d’or !

Afghanistan : réfugiés annoncés

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L’Afghanistan tombe à toute vitesse entre les mains des Talibans, ce qui était parfaitement prévisible une fois terminé le retrait des vaillantes troupes étasuniennes suivies des non moins vaillantes européennes de toute confession. Les Turcs, curieux n’est-ce pas ? sont toujours sur place, on se demande pourquoi …

Dégât collatéral prévisible, les arrivées massives de « réfugiés afghans ». Quatre-cent mille s’ils vous plaît, ont déposé une demande de visa. Dont quarante-mille pour la France. Vous avez aimé les « réfugiés » syriens, vous adorerez lez Afghans !
Nos vaillantes autorités militaires avaient donné des assurances au personnel indigène indispensable à sa mission, comme les traducteurs. En cas de retrait « forcé », ces collaborateurs seraient dignement accueillis dans le pays qu’ils ont servi. Mais seront-elles tenues ? Rien n’est moins sûr au vu de ce qui s’est passé autrefois au Vietnam ou en Irak. Par contre, des éléments troubles, suspects mêmes, se pavanent déjà dans nos villes avec des visas on ne peut plus en règle, allez donc comprendre …
Les Afghans sont des Aryens (leur pays, dans leur langue, a pour nom : Ariana) ; dans leur veines coulent quelques gouttes du sang d’Alexandre le Grand. Le problème, c’est leur islam pour le moins arriéré. Certes, il y a des »élites » qui ne se sentent pas tenues par ces contingences religieuses et rêvent de vivre à l’anglaise ou l’américaine, mais elles ne constituent qu’une minorité. Les autres, hélas, se sont déjà fait remarquer parleur violence en Europe et ailleurs.
Au rendez-vous de leur accueil, comptez sur toutes ces associations qui n’ont pour seul but que de nous submerger de toute la misère du monde. Un remake de 2015 est donc au programme.
Ceci nous ramène à une question essentielle : pourquoi faire des guerres que, de toute façon, nous ne pouvons gagner ? A quoi servent nos drones sophistiqués, nos logiciels high tech, nos soldats déguisés en robots et des robots déguisés en soldats ? Quelques barbus armés de Kalach d’occasion, vivant d’herbe fraîche et de fromage de chèvre dans des montagnes glacées en sont arrivé à bout. Il est vrai que « la foi déplace les montagnes », cette foi que nous n’avons même plus en nous-mêmes et notre coupable vanité.
Et nous rentrerons la queue basse, nos morts oubliés, les blessés cachés et l’orgueil restauré à coup de slogans creux.

L’Italie championne. Choquant !

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L’Italie a gagné l’euro, liesse dans les rues, fierté nationale, fête partout, bonne nouvelle pour des braves gens fatigués après dix-huit mois de Covid et autres péripéties scabreuses.
Quand fut présentée l’équipe de foot italienne, ce fut un concert de critiques fielleuses. Comment, pas un seul noir, pas un coloré pour relever la dominante blanche de ces jeunes gens ? Il y avait comme une nostalgie nauséabonde dans l’air, déjà d’aucuns confondaient Munich 1936 et l’euro 2021. Eh bien non, ma chère, ces footballeux, tous Caucasiens d’appellation d’origine contrôlée, étaient là, non pas parce que les sélectionneurs voulaient des Blancs, mais parce que le talent de chacun d’eux exigeait sa sélection.
Et donc, les obsédés du métissage et de l’immigration vue comme une chance en sont gros Jean comme devant. On peut devenir champion avec des petits gars bien de chez nous. Cqfd.

Macron, président des minorités

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Le président de la république aime s’exhiber face aux journalistes pour présenter son plan de sauvetage de la France, l’Europe et la planète tant qu’à faire. Ces derniers jours, il multiplie les déclarations pour que la paix règne au Moyen-Orient et exhorte Israël à suivre ses conseils.
Tout le monde a compris que des revendications du petit peuple il se fiche royalement. Et d’aucuns de se demander si ce refus de reconnaissance procède d’une stratégie ou d’une aversion innée.
Monsieur Santini, qui fut un député célèbre pour ses saillies verbales, a dit d’Emmanuel Macron qu’il est instruit mais pas intelligent. Ce n’est pas faux. Le président est incapable d’élévation, cette dernière impliquant dans le chef de celui qui y aspire le sentiment de sa propre infériorité, ce dont Macron est incapable. Pourquoi Macron n’a-t-il pas écouté les gilets jaunes, ce ramassis de petits blancs pauvres, peu instruits, électeurs de Marine Le Pen, buveur de gros rouge, fumeurs de clopes et carburant au diesel ? Parce que Ces gens-là font partie d’un monde qu’il récuse et auquel il dénie le droit à l’expression.
Monsieur Macron est le président des minorités.
Minorité de milliardaires qui l’ont placé là où il est. Emmanuel Macron est leur majordome.
Minorités visibles : Emmanuel Macron, à l’instar de ses prédécesseurs, se préoccupe plus du sort des banlieues colorées, des réfugiés, des immigrés que des retraités blancs sans le sou et autres agriculteurs poussés au suicide.
Minorités sociétales : Emmanuel Macron est le président des homosexuels, transgenres, lesbiennes etc. soit en gros un pour cent de la population. Au bénéfice duquel on dénature le mariage et accorde une procréation médicalement assistée.
Alors, vous pensez, ces beaufs qui se marient pour avoir des enfants, apprécient l’accordéon boivent du pastis plutôt que sniffer un rail, c’est pas vraiment sa tasse de thé.
Sauf que la majorité silencieuse le hue dans la rue ou au stade. Et qu’il y eut des samedi à la suite qui virent dans Paris le retour des sans grades et oubliés du système. Et ne parlons pas des émeutes récentes. Il a beau dire et faire, le jeunot, cela ne s’arrêtera pas !
La France, ce n’est pas la patrie des homos, des noirs, des muzz et francs-maçons. Mais bien celle de braves gens (de toutes les couleurs), durs à la tâche et qui en ont marre d’être réduits à la portion congrue quand des élites autoproclamées tiennent avec morgue le haut du pavé, se gavent de mots creux et se les remplissent sans vergogne.
Louis XVI n’a rien vu venir, Macron ne voit rien non plus.
Il n’a pas toute sa tête, comme dirait l’autre …

L’honneur perdu en Afghanistan

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Jeunes filles afghanes. Avant …

Entre le virus version ε ou 𝛌, le Tour de France et les émois des élus républicains qui voudraient tous devenir président de la république, la presse nous informe qu’après le retrait des troupes étasuniennes d’Afghanistan le pays bascule entre les mains des Talibans. Ces derniers, avant de jouir de leur victoire, vont se battre quelque temps entre eux, histoire de ne pas perdre la main et puis on verra quelle faction l’emportera !

Comme quoi, la technologie ne peut rien contre la volonté d’une poignée de combattants ascétiques, vivant à la dure au milieu des chèvres et des chameaux sur des hauts plateaux glacés ou des vallées brûlantes sous le soleil d’été. Les Etasuniens étaient retranchés dans des forteresses gardées par des ordinateurs, des drones, des hélicoptères, des avions à réactions et des fonds d’écran de pin-up. Cernés par des types hâves aux Kalach rutilantes et assassines, ils sont partis le baluchon sur le dos, laissant leurs restes à même le sol ; conserves, pq, cannettes de Coca, beurre de cacahuètes, emballages McDo et papiers gras. Sans pudeur, sans honneur, mais savent-ils seulement ce que «honneur » veut dire ?
Et ces militaires qui sont morts ? Et les autres mutilés à vie ? Passés en pertes et profits de la guerre, ma chère.

Face à des types qui croient que Dieu, qui est grand, est avec eux et que leur religion est la plus conquérante du monde, que voulez-vous faire ? Soit vous les éliminez, soit ils vous éliminent. Mais si vous vous posez des questions futiles sur le sexe des anges ou celui des hommes, mariez entre eux des homos, estimez qu’une femme pilote de chasse est l’acmé du féminisme et que les hommes devraient être honteux de ne pas connaître les affres des règles, ne venez pas vous plaindre d’être battu à plate couture par quelques barbus descendus de leurs pics neigeux !
Autrefois, quand il était fort et sans complexe, l’homme occidental était respecté et copié. L’Afghane en 1940 rêvait de se vêtir comme une Européenne et d’apprendre le français ou l’anglais. Aujourd’hui, ces hommes blancs renient leur passé et leur culture, développent un complexe de culpabilité et se battent la coulpe pour des prévarications auxquelles ils sont étrangers.
Et demain ils se soumettront à leurs nouveaux maîtres et couvriront leur femme de voile quand ils ne la borderont pas dans le lit des vainqueurs.
Ils appelleront cela : « Vivre ensemble ».

Dupont-Moretti sur le banc …

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Imaginez un pays où le ministre de la Justice est convoqué par les juges dans une affaire où il a confondu ses propres intérêts et les obligations de sa fonction. Ce pays c’est la France dont le « magistrat suprême » est monsieur Macron. Déjà la nomination de cet avocat hyper-médiatisé, ennemi déclaré des juges à la tête de ce ministère était une de ces provocations dont le président de la république fait ses délices. Les juges n’ont pas apprécié et l’ont attendu au tournant où l’ancien avocat a été piégé comme le dernier des caves.
Avant cela, il s’est fait ridiculiser dans le Nord où il se présentait aux élections sur la liste de la république en marche, éliminée après le premier tour comme vous le savez. N’est pas politicien qui veut et une campagne électorale n’est pas une plaidoirie. Là aussi, le ministre, ex-avocat a pédalé dans la choucroute, se présentant en Exterminator du Rassemblement National. Loupé !
Décidément, rien ne va plus pour Macron. En 1917, à peine nommé ministre, François Bayrou, mis en examen pour financement illicite de son parti, doit démissionner. Cette fois ci, c’est plus grave car M. Dupont-Moretti doit comparaître devant la Cour de justice de la République, l’instance qui juge les crimes et délits commis par les ministres dans le cadre de leur fonction ministérielles. Ce qui veut dire qu’il aurait profité de son nouveau statut de patron des magistrats pour régler ses comptes avec la corporation. Ce qui réussit parfois aux mafieux, les vrais, rarement avec des histrions aux effets de manche.
S’il est mis en examen, qui prendra le relais ? Il se murmure que les candidats ne se pressent pas au portillon de l’Elysée. Etre ministre de Macron ou musicien de l’orchestre du « Titanic », c’est du pareil au même.

Sauf que le « Titanic » est passé dans l’Histoire.
Macron & Cie ?