Paris, fin février dernier, le proviseur du lycée Maurice Ravel enjoint à trois élèves de retirer le voile strictement islamique qui couvre leur chef. Deux s’exécutent, une troisième refuse. Elle « s’explique » avec le proviseur qui finit par l’exclure du Lycée. Elle porte plainte, dit que que ce dernier l’a giflée (ce qui s’avérera faux ) et se plaint chez ses grands-frères et toute la communauté de son quartier. Le proviseur reçoit des menaces de mort et, aujourd’hui, a démissionné. D’aucuns dans la fonction publique disent que c’est la peur de subir le sort d’un Samuel Paty qui a motivé sa décision, le rectorat, faux cul, parle de « convenance personnelle ». Le résultat reste le même ; face à la menace islamique, le rectorat se soumet, le gouvernement et la France aussi. Voilà où nous en sommes arrivés !
Quand deux cultures cohabitent (plutôt mal) dans un même espace, forcément, l’une va prendre le pas sur l’autre. La culture française, d’origine judéo, gréco-chrétienne, se meurt. Ce qui n’est pas étonnant, la France renie son passé, en a honte, se flagelle sur ces faits qui firent jadis sa gloire. Elle ne connaît pas, ne veut plus connaître ses racines, elle tord le cou à sa langue, adopte le sabir des strates les moins assimilées de la société et envoie pour la représenter aux Jeux dits Olympiques une Malienne onaniste s’exprimant en un volapük dont l’ésotérisme échappe aux « faces de craie », dont votre serviteur.
De cette démission, personne ou presque, n’en parle. La presse bien-pensante, se tait ou la fait passer pour une information sans importance, se gardant bien d’en tirer des conclusions, c’est un sujet tabou comme l’immigration, la faillite du « vivre ensemble » et l’islamisation rampante de toute notre société. Vous verrez, les prédictions du livre de Houellebecq, « Soumission », se réaliseront, comme se réalisent celles de celui de Jean Raspail, « Le Camp des Saints ».
Et pendant ce temps, monsieur Macron, se pavane en Guyane et au Brésil, il ne voit rien, entend encore moins. Il n’a ni yeux ni oreilles.
La fin est proche …
skanderbergblog 