Ce zen qui ne l’est pas

L’autre jour, reportage sur les bouddhistes de France et d’Europe, en l’occurrence les adeptes du zen. Vous me direz qu’il faut de tout pour faire un monde et vous aurez raison. Et puis aussi que toute foi pratiquée avec sincérité mérite respect et vous aurez encore raison.
Cependant, à la vue de ces hommes et femmes, Européens on ne peut plus, crâne rasé, revêtus de la robe noire et d’une espèce de pochette-surprise brune de moine japonais, un sentiment nous envahit et on se dit que tout cela sonne faux.
D’autant plus que la doctrine qui sous-tend leur croyance est aux antipodes de nos structures mentales. Pensez-donc, le bouddhisme du Mahayana (grand véhicule) enseigne in fine que « toute forme est vide et que le vide lui même est forme » (« Prajanaparamita Sutra » ou le Sutra de la Grande Sagesse). Que signifie donc cette affirmation péremptoire ?
Sans entrer dans les détails, il n’y a pas en l’espèce d’exceptions, le bouddhisme à ce stade ultime de compréhension décrète que tout, absolument tout, est vide, ce vide n’est pas l’inexistence mais l’absence de toute nature propre. En termes kantiens on dirait que la « chose en soi » n’existe pas. Il n’y a donc pas de Bien, pas de Mal, pas d’être, pas de non-être puisque toute la réalité s’articule autour d’elle-même en une ronde sans fin qui veut que tout soit dépendant, effet d’une cause qui, elle-même, est l’effet d’une autre et ainsi de suite à l’infini. L’avenir, le passé, le présent sont des illusions. La compassion, ce leitmotiv bouddhiste par excellence, est vide, tout comme l’amour ou la haine. Il n’y a pas de « moi », pas « d’autrui » non plus, pas de Bouddha, pas de nirvana et pas de samsara itou.
Kant et, avant lui Thomas d’Aquin, avaient signalé cette dépendance des choses et des réalités mais lui donnaient force et vigueur en la couronnant d’une cause première, en l’occurrence Dieu. Ce Dieu que les bouddhistes estiment « vide » lui aussi.
Les affidés occidentaux de cette doctrine nous apparaissent comme d’étranges poissons égarés dans un aquarium qui n’est pas le leur. Nos structures mentales intègrent la réalité ambiante, le passé et le présent, le Bien et le Mal, le moi et autrui. Nous croyons en l’espérance, l’amour et la compassion aussi. Nous ne pourrions concevoir un univers qui serait totalement évanescent. L’Histoire nous a donné raison qui veut que ce soit nous qui donnions le « la » au monde. En fait, le monde entier nous copie, y compris ces pays où une foi enseigne que tout est « vide ».
Mais, au fait, comment les pays bouddhistes la vivent-ils, leur foi ?
Le Japon a une flopée de sectes bouddhistes de toutes les obédiences possibles et imaginables en plus de la religion d’origine, le shinto, toujours très présent dans la spiritualité japonaise.
Le bouddhisme, pour le fidèle lambda est perçu comme une croyance qui associe le culte des ancêtres à la divination quand ce n’est pas un ensemble de trucs pour devenir riche et gagner au loto. En Chine, c’est pareil et partout en Asie de même.
C’est singulier de voir et d’entendre ces hommes et ces femmes d’Europe psalmodier des mantras dont ils ne saisissent pas la signification et affirmer, ensuite, que cela n’a aucune importance puisque les mots, comme tout le reste, sont « vides ».
Nous ne savons si ces braves gens sont « vides » mais ils se présentent comme des moines du dimanche.
Et, en matière de moines, nous avons nos propres modèles qui valent bien ceux de l’Extrême-Orient  !

La fabuleuse histoire du pope Noufrakis

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Aujourd’hui que la provocation du Sultan a refait de Sainte Sophie une mosquée, souvenons-nous du pope qui, voici un siècle, décida de forcer le destin et de rappeler la nature éternelle de la basilique des empereurs byzantins.

Voici l’histoire d’un héros méconnu même dans son propre pays, la Grèce. Il s’appelle Lefteris Noufrakis, c’est un Crétois de noble race, né à Alones, une petite bourgade près de Rethymno. En 1919, il est aumônier militaire et participe avec les forces grecques et alliées à une expédition en Ukraine. En chemin, la flotte mouille à Constantinople. Là, le pope, pris sans doute d’une inspiration divine, décide d’aller à Sainte Sophie (Hagia Sofia), transformée en mosquée depuis 1453, date de la prise de la ville par les Turcs, et d’y célébrer la Sainte Liturgie. Il en parle à quelques militaires qui hésitent et, devant la détermination du pope, acceptent de l’assister. Constantinople est, à l’époque, sous contrôle allié, ce n’est pas une ville occupée mais soustraite à la souveraineté du Sultan. Il y a encore d’importantes minorités arméniennes et grecques ainsi que des Européens d’un peu partout. Accompagné de quatre acolytes, voilà notre Crétois qui pénètre dans l’antique basilique. Imaginons-le prononçant sur le seuil : « Me voilà qui rentre dans Ta demeure pour honorer avec crainte Ton Saint Nom ». A l’intérieur de ce qui, pour eux, est une mosquée, il y a des Turcs qui ne soupçonnent pas encore ce qui se passe. Le pope revêt ses vêtements liturgiques et dit : « Béni soit le royaume du Père, du Fils et du Saint Esprit, maintenant et dans les siècles des siècles ! Dans la paix du Seigneur, prions. »
Et la liturgie de se dérouler conformément au rite. Les musulmans réalisent bien vite que, de mosquée, Hagia Sofia est redevenue ce qu’elle fut : une église. Il y a des mouvements divers et une hostilité larvée mais rien n’empêche notre héros de poursuivre. Le téléphone arabe fonctionne et des Grecs accourent et d’autres chrétiens aussi pour assister, ébahis, à la première liturgie depuis 466 ans dans cette basilique des empereurs.
Nul doute que des anges et des chérubins les protégeaient.
Après la liturgie, nos hommes regagnèrent leur bâtiment à la hâte, les Turcs, réagissant à la « profanation » de leur mosquée étaient devenus menaçants. L’un d’eux s’en pris violemment au pope et le blessa à l’épaule.
L’histoire ne fut point ébruitée par la presse, les alliés n’auraient pas apprécié ce qu’ils auraient qualifié de « provocation » et notre pope retourna dans son humble anonymat.
Il y eut quand même « incident diplomatique » et les (lamentables) excuses qui vont avec.
L’Evangile n’est pas pour les tièdes, les pusillanimes, les timorés. C’est la foi du Croisé qui arbore un chlamyde décoré d’un sang rédempteur. Le pope Noufrakis le savait.
Qui le sait encore ?

Tristes temps pour les pédos

Triste temps pour les survivants du tout permissif. Christophe Girard, adjoint à la culture de la ville de Paris a démissionné poursuivi qu’il était par l’ire d’une meute de féministes hystériques et d’austères écolos- censeurs. Jouir sans entraves est décidément has been!
Faut dire que le monsieur fut un compagnon de jeu des feus Pierre Bergé et Yves Saint Laurent, références majeures en la matière. Ils ont réglé les notes d’hôtel de Gabriel Matzneff, esthète et amateur de très jeunes garçons et filles. Il y cachait ses apartés initiatiques avec une lolita de quatorze ans, Vanessa Springora qui, depuis, a tout révélé dans son livre «  Le Consentement ».
La maman de la donzelle était, paraît-il, au courant des cinq à sept de sa fille avec cet homme de cinquante ans, mais pour cette bobo féministe, c’était un honneur que cet homme sensible et doux l’éveille à de si troubles et interdites voluptés.
C’était l’époque, vous vous en souvenez peut-être, où Daniel Cohn-Bendit pérorait devant les caméras sur le plaisir qu’il y avait à se faire tripoter la braguette par des fillettes de quatre ans. Et Roman Polanski, fuyant les juges californiens qui l’accusaient d’avoir violé une mineure de treize ans, reçu en toute indulgence et pompe par l’intelligentsia médiatique et « intellectuelle » française.
Eh oui, il faut réaliser que l’époque est devenue frileuse. Pas question de folâtrer sans prendre un minimum de précautions, je ne parle pas du sida, mais de la carte d’identité de la mademoiselle (ou du damoiseau, si vos mœurs …) que je vous conseille de photographier dès fois qu’elle soit truquée, vous pourriez, en cas de pépin, plaider la bonne foi.
Et puis, abstenez-vous de faire de la politique, il y a de ces boomerangs qui reviennent quand on s’y attend le moins.
Et sur l’oreiller, les sens apaisés, ne dites rien de qui vous êtes, ce que vous voulez faire, inventez-vous des histoires banales, transparentes à souhait.
Et partez sans vous retourner …
En rasant les murs.

Europe : décrépitude confirmée

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A Lyon, une jeune femme est renversée par deux berbéro-congoloïdes qui circulaient en voiture et l’ont traînée sur huit-cents mètres. Elle est morte. Une gendarme tuée par un chauffard de la même race, un chauffeur de bus lynché par ces mêmes sauvages, un « jeune mineur » arrêté après avoir agressé un couple, une tentative de massacre déjouée dans l’église du Blanc-Mesnil (93), la cathédrales de Nantes incendiée par on ne sait qui, sans doute des Suédois du coin …
Et la liste n’est pas limitative. Pour rappel : en 2019, d’après les chiffres du ministère de l’intérieur, 1,052 actes anti-chrétiens sont recensés, contre 687 antisémites et 154 antimusulmans.
Monsieur Macron est revenu de Bruxelles extatique. Il a arraché un accord à ses partenaires. Au terme de ce dernier, la France touchera quarante milliards d’euros de subventions européennes … elle paiera cependant quatre-vingt milliards de plus au titre des cotisations.
Pas vraiment gagnant-gagnant …
L’Allemagne ne paiera pas un sou de plus et les pays qualifiés de « radins » par Macron verront leur cotisation sérieusement allégée . Qui est vainqueur d’après vous ?
Le problème n’est pas tant l’évolution de cette Europe de Bruxelles vers le fédéralisme mais bien de sa survie alors que l’immigration sauvage s’amplifie et que des strates entières de la société sont minées par l’islam et la violence qui en découle. La démographie des blancs autochtones est en chute libre, au point qu’en 2050 cinquante pour cent de la population de l’Europe de l’ouest sera d’origine extra-européenne. Quand on voit et vit l’insécurité que ces composantes occasionnent on ne peut que se préparer à la guerre ethno-raciale qui vient, ou se faire égorger sans rien dire. Au choix.
Alors, cette Europe de Bruxelles, ses nuits blanches et satisfecit rabâchés, qu’est-ce d’autre sinon les discussions byzantines sur le sexe des anges quand le Turc campe au pied des remparts ?
L’urgence est d’éviter les bains de sang qui viennent en prenant nous-mêmes les devants. Et pour ce faire, pas de demi-mesure, pas d’humanisme bêlant, pas de pitié non plus.
C’est eux ou nous !

Nantes : dégoûté, Dieu s’en va …

La cathédrale de Nantes a été la proie des flammes. Le feu a pris dans trois endroits et a ravagé l’édifice sacré. Les dégâts sont énormes, l’émotion générale et les réactions indignées.
Cette fois, pas moyen d’y couper. Dès le départ il était patent que l’incendie était criminel, ce que les responsables sur place ont déclaré sans langue de bois.
Pas étonnant cependant, en 2019 plus de mille (1000) cas de vandalisme ont été recensés sur les églises catholiques. Mis à part Notre-Dame de Paris (dont le caractère criminel est nié farouchement par nos édiles), ces faits ont été occultés, voire minimisés par la presse du pouvoir en place . Et si on ajoute aux églises les calvaire détruits, les croix arrachées, les statues de saints décapitées, on arrive à une moyenne de cinq à six déprédations par jour.
Que la cathédrale de Nantes soit l’objet d’une agression criminelle n’est pas étonnant. Nantes est un pourrissoir de la lie gauchiste, toutes chapelles (si j’ose l’écrire) confondues : anarchistes compulsifs, féministes hystériques, homos dégénérés … tout est bon pour mettre la ville sens dessus-dessous à la moindre manifestation.
C’est à Nantes, en 1793, que le Directoire fit arrêter dix-mille habitants soupçonnés de ne pas être des révolutionnaires enthousiastes. Les malheureux furent enchaînés deux par deux et noyés dans la Loire. Parmi eux, une majorité de femmes, de vieillards et d’enfants. Nantes est désormais peuplée des descendants de leurs bourreaux.
Il n’y a pas de civilisation sans tradition et pas de tradition sans religion. Depuis la sanglante révolution parisienne dite française, la France s’acharne à se défaire d’un passé qu’elle souille tous les jours davantage : christianophobie érigée en dogme, repentance à l’égard d’une épopée coloniale jugée honteuse, accueil de migrants inassimilables, mariage perverti, vice élevé au rang de vertu.
Pas étonnant que dans ces conditions Dieu lui-même décide de prendre le large.
La nature ayant horreur du vide, à une civilisation agonisante en succédera une autre qui n’aura rien à voir avec ce qui fut et les affres de cette naissance ne seront pas sans rappeler les meurtres de masse de jadis.
A moins que …

  • photos : la jubilation s’exhibe sans retenue…

Le virus et la jouissance du masochiste

Si demain des sommités scientifiques auto-proclamées décidaient que le gode-anal est le must en matière de prévention d’un virus, j’en connais des tas qui s’en mettrait un et sans vaseline avec ça !
Le port du masque obligatoire a démontré combien l’Européen moyen est malléable à souhait dès lors qu’on lui fait peur. Quand un peuple efface la mort du registre des possibles, il a déjà un pied dans la tombe.
Le virus, c’est comme une bête affamée qui se pointe au marché. Elle bouffe tout ce qu’elle peut et, une fois sa faim apaisée, retourne dans sa tanière. Si l’on se confine comme des malades, la bête reste aux aguets et comme elle est patiente, cela peut durer une éternité . Autrefois, quand une ville était la proie d’une épidémie, elle était mise en quarantaine, personne n’y entrait ni n’en sortait en attendant que ça passe. Après on comptait les morts et leur faisait de belles funérailles avec Te Deum en prime.
Faut croire qu’on est devenu frileux, c’est sans doute le propre des peuples dégénérés qui ont perdu l’envie de se battre, qui se cherchent des excuses à propos d’exactions qu’ils n’ont pas commises et se battent la coulpe sans savoir pourquoi. Ce que nous sommes devenus en Europe occidentale.
Triste spectacle mis en scène par des écologistes délétères, des féministes impudiques, des homos exhibitionnistes, minorités arrogantes qui squattent l’espace public et y déversent leur sanies.
Mais après tout, quelle importance ? La nature est ainsi faite qu’elle privilégie les forts et annihile les faibles. Elle est bien faite et se défend toute seule, sans les vociférations ridicules des uns et les vapeurs des autres.
Attendre calmement dans son coin, l’arme au poing, sans rien dire et frapper à bon escient.

  • illustration : Karolina Koryl

Histoires turques

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Ils viennent des confins de l’Asie centrale, de cette Mongolie sauvage, désespérée même, qui crache ses fils sur le reste du monde comme des sauterelles affamées sur un champ de maïs. De razzias en massacres, ils avancent vers l’Ouest. En chemin, ils enlèvent femmes et enfants mâles, les autres ils les tuent. Ils prennent leur temps, pillent tout ce qu’ils peuvent, se reposent auprès de leurs captives et puis repartent. Ils se mélangent avec ces femmes, leurs enfants se débrident les yeux, prennent des couleurs, mais ils veillent au grain, ce seront des guerriers, ils feront la guerre, ils ne savent faire que cela.
Quand ils atteignent l’Anatolie, ils contemplent l’empire byzantin, ses fastes, sa luxuriance, sa sophistication savante, son art de vivre, sa civilisation millénaire. Ils sont pris d’une fringale d’hécatombe. Il leur faut Byzance et ses merveilles. Ils mettront le temps qu’il faut, ils n’ont rien d’autre à faire.
Ils se sont ralliés à l’islam, religion simplissime et son Coran, livre brutal, illisible. Cela leur convient. Du ciel, il s’en fichent, ce qui leur sied ce sont les loukoums de la terre et les harems qui vont avec. Ils les veulent pour eux seuls.
Le destin a voulu qu’ils s’emparent de Byzance. Le miracle romain ne s’est pas produit. Alors que les fils de Remus et Romulus avaient adoptés la culture grecque au point de faire du grec leur langue vernaculaire, ils sont restés tels qu’ils étaient : sauvages des steppes de l’Asie, étonnés d’être là où ils se trouvent. Ils en voulurent plus, allèrent jusqu’aux remparts de Vienne où des croissants leur furent fatals. Le virus du massacre ne les a jamais quittés. Génocide des Arméniens, tueries de Grecs, Kurdes et autres Arabes d’Antioche, c’est leur seconde nature, ils ne s’arrêteront jamais. Sans doute est-ce le propre de bâtards honteux que de vouloir, par la force sanglante, se conférer une légitimité.
Leur sultan, imprécateur besogneux, rend la basilique Sainte Sophie au culte musulman. De musée, la (revoici) mosquée. Un détail dans la liste des exactions morbides de ce peuple marqué du sceau de l’infamie.
L’Occident dégénéré, aura beau protester, réclamer, émettre des réserves, rien n’y fera. Ils se gaussent de ses remarques, lorgnent vers ses cités opulentes, ils savent qu’elles sont décadentes, vicieuses comme des catins et qu’un peuple capitulard les habite. Ils savent aussi que, sous eux vainqueurs, des femmes se coucheront sans dire un mot.
La guerre ne fait que commencer.

D’Obono à Clinton en passant par Epstein …

Bonjour tout le monde, nous sommes aujourd’hui le quatre juillet de l’an de grâce deux-mille et vingt, jour de la Saint Florent ou, si vous préférez et la connaissez personnellement, Sainte Muste.
Madame Obono (sic), députée La France Insoumise, a déclaré lorsqu’elle apprit la nomination de monsieur Castex à Matignon : « un homme blanc et de droite ».
Elle voulait quoi ? Un homme noir et de gauche, sans doute ; seulement voilà, la France est (encore) un pays peuplé à une écrasante majorité de blancs, comme l’Afrique, le continent d’où viennent les parents de madame Obono, de Noirs . De plus, la phrase n’est-elle pas un fifrelin raciste : « homme blanc … » ? Imaginez que votre humble serviteur ait écrit : « Sibeth N’daye, femme noire et ministre… » Vous les auriez entendu les antiracistes primaires me traiter de tous les noms, interpeller les procureurs de la raie publique, les ligues de vertus, les associations innombrables qui veillent au grain. Mais là, « homme blanc … », personne ne bouge, comme s’il y allait de la nature même des choses dans le chef de l’intouchable madame Obono !
Aux Etats-Unis, madame Ghislaine Maxwell vient d’être arrêtée. C’est une ex de Jeffrey Epstein, l’homme qui aimait les très jeunes filles et s’est suicidé, paraît—il, dans sa prison de New-York. Bien des gens ont poussé un « ouf » de soulagement, mais avec l’arrestation de Ghislaine et la perspective qu’elle parle et dévoile des noms connus, l’angoisse monte d’un cran chez d’aucuns. Le prince Andrew, par exemple ; une femme l’accuse d’avoir eu avec elle des relations sexuelles quand elle avait dix-sept ans, il y a même une photo où on les voit ensemble, elle est souriante et ne ressemble pas du tout à une Lolita, mais bon, allez-vous-en savoir … Celui qui est tout particulièrement dans ses petits souliers, c’est Bill Clinton dont tout le monde connaît la pathologique addiction sexuelle. Tout le clan, Hillary en tête, est là pour le protéger et l’opération CYA (Cover your ass) a déjà commencé. Dans l’appartement de Jeffrey Epstein, les policiers ont saisi un tableau représentant Bill Clinton habillé en femme, robe bleue échancrée et hauts-talons …
Affaire (haletante) à suivre… A moins que cette pauvre Ghislaine (61 ans) ne se suicide aussi dans sa prison.
Un mot sur ce monsieur Castex qui est désormais premier ministre ?
Pas inspirant, le bonhomme, pas du tout. On a eu jadis avec Giscard d’Estaing un colin froid, aujourd’hui c’est un chou farci.
Et pas à la crème !