Harvey Weinstein harcelé

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Non mais … il y en a qui découvrent que la mer est salée. Tenez, l’histoire dégueulasse de ce producteur d’ Hollywood, Harvey Weinstein ( et pas «Vinstin», comme le prononcent nos présentatrices TV formatées!); ce gros porc casher est accusé par toute une kyrielle d’actrices de n’être qu’un crapuleux harceleur les convoquant dans ses suites luxueuses pour ensuite leur faire des propositions malhonnêtes que toutes, of course! ont refusées. Les actrices pour décrocher des rôles ne couchent pas, c’est connu, jamais elles n’écartent les cuisses, il n’y que les putes à faire ces choses, elles pas, c’est leur talent et leur talent seul qui leur vaut le rôle (air connu).
Aujourd’hui c’est la meute, elle s’y mettent toutes. A les entendre Weinstein était un obsédé sexuel, un type dégoûtant qui la faisait au chantage: t’enlève ta culotte et t’as le rôle. A les voir raconter, yeux baisés et posture…

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L’inquiétant président Macron

Plus de soixante-dix pour cent des sondés estiment que le président Macron est autoritaire et arrogant, soixante-deux pour cent le trouvent inquiétant et soixante pour cent concèdent qu’il est dynamique. Un quart des Français lui fait encore confiance.
Tous les sondés admettent que la démocratie « à la française » n’en est pas vraiment une, qu’il y va plutôt d’une oligarchie, et de l’ensemble des réponses on peut déduire que le climat est franchement pessimiste.
A Jérusalem, Emmanuel Macron s’est donné en spectacle dans un remake lamentable du Chirac show de 1996. Ce dernier avait au moins la qualité d’être improvisé, sincère et détonnant. Avec Macron ce fut un four total, concocté avec la complicité d’une journaleuse auteur d’un livre consacré à sa femme (Ava Djamshidi !).  C’est curieux, sa femme n’était-elle pas son professeur de français quand il avait quinze ans et ne l’a-t-elle pas initié au théâtre (entre autres …) ? Manifestement, il n’avait pas de talent pour la chose (le théâtre !).
A peine sorti de Sciences Pô, avec des résultats honnêtes mais sans plus, voilà que Macron postule pour un poste de professeur d’université. A Harvard, s’il vous plaît ! Même pas docteur, pas une publication à son nom, le néant total mais une grande, très grande idée de sa personne et un toupet hors du commun. Harvard n’ pas daigné répondre au petit arrogant et Macron a présenté le concours d’entrée pour l’ENA. On connaît la suite.
Mais le prof frustré est toujours là qui fait la leçon à tout le monde et surtout à ceux qui pourraient se passer de ses mises en garde, conseils et autres méditations sur l’état du monde et des gens qui l’habitent.
Dans l’avion qui le ramène d’Israël, voilà que, toujours inspiré par Chirac, il décide qu’il fera lui aussi sa petite révolution mémorielle. Chirac, en reconnaissant la responsabilité de la France dans la déportation des Juifs  (c’était en juillet 1995), avait rompu avec la sacro-sainte règle qui voulait que la France « de Vichy » n’était pas la France et que, par conséquent, aucune responsabilité dans la déportation des Juifs ne pouvait lui être imputée. En rompant avec cette règle, Chirac reconnaissait « de facto » le régime de Vichy et lui rendait, sur le tard, une légitimité. C’était une révolution.
Eh bien, Emmanuel Macron, lui, fera comprendre aux Français l’ampleur de leur responsabilité  dans le déclenchement de la guerre d’Algérie et la colonisation qui fut, comme il l’a dit aux Algériens, « un crime contre l’humanité ». En pleine contestation violente de sa réforme (bâclée) des retraites, dans un climat social marqué par des grèves, des coups d’éclat, de violence policière et autre, il se permet de jouer au vieux sage qui dispense ses conseils, condamne les uns et absous les autres. On se croirait au théâtre, un dans lequel il pourrait jouir du spectacle … de son spectacle. Ce serait risible si ce n’était pathétique d’orgueil exhibé sans pudeur, sans honte et dans la plus parfaite obscénité.
« Malheur à la ville dont le prince est un enfant », voilà ce que nous enseigne l’Ecclésiaste (10.16). Nous voilà arrivés à ce point de non-retour où il faut en finir avec ce gamin tiré en laisse par une géronte au genre mauvais. Nous valons mieux que ces enfants gâtés du siècle qui croient que tout leur est permis et se targuent de nous donner des leçons. Qui méprisent la sagesse des anciens et déplacent la borne ancienne, celle que leurs pères ont plantée.
A force de reculer les limites de la décence, Macron et consorts seront rattrapés par le réel qui n’est pas une pièce de théâtre écrite par un fou et vue par des aveugles, mais une réalité dure, vraie et qui ne se laisse pas tripoter comme une de ces vulgaires catins comme il s’en croise tout plein dans les boudoirs de l’Elysée et ailleurs.
Dans le fond, dommage qu’il ait été refusé par Harvard …

Crimes de guerre des Alliés

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« Vae Victis ! », malheur aux vaincus ! Le vieil adage est d’ application, une fois de plus, dans la relation de la dernière guerre mondiale.
Petit à petit, avec un courage de plus en plus affirmé, des historiens (Bloxham, Beavor, Buske, von Münch) dévoilent au fil des éditions, les horreurs qui accompagnèrent et suivirent la victoire des alliés. Bornons-nous à ceux commis en Allemagne.
Bombardement intensifs et inutiles des villes allemandes.
Aucune ville, aucune bourgade, ne fut épargnée. Même en l’absence de tout intérêt militaire (casernes, gare, concentration de troupe, nœud routier), les cités allemandes furent rasées les unes après les autres. Ce qui contrevient aux « lois de la guerre » qui interdisent tout bombardement d’objectifs civils.
Le bombardement de Dresde, en février 1945, réalisé, comme le prouvent les document préparatoires, dans le but avoué de « terroriser la population civile », fit 200,000 victimes.  Il n’y avait aucun stationnement de troupes  à Dresde. C’est un crime de guerre unanimement reconnu, jamais jugé !
Viols en masse.
Beavor estime qu’un million cinq-cent mille femmes allemandes furent violées par les troupes soviétiques et deux cent cinquante mille par les autres alliées. Le viol est un crime qui resta impuni dans quatre-vingt-dix pour cent des cas. Seuls quelques noirs américains furent jugés et parfois pendus.
A Berlin entre mai et fin juin 1945, les autorités soviétiques durent faire face à une vague de suicides dans la population civile: dix mille en six semaines. Crimes dénoncés, jamais jugés.
Villages rasés.
Surtout le fait des troupes soviétiques en Poméranie. Mise à sac et incendie de Demmin, mais de bien d’autres villages et hameaux, massacre de tout ou partie des habitants. Les Français ne furent pas en reste qui se livrèrent à ce type d’exactions, notamment dans le cadre de la lutte contre la guérilla
allemande (voir ci-dessous). Bien entendu, ces exactions ne furent jamais réprimées.
Population allemande affamée.
Pas de politique concertée pour pallier la désorganisation du ravitaillement. La priorité est donnée à la « dénazification », qui, chez les alliés est la première préoccupation. Et tant pis si femmes, enfants, vieillards meurent de faim. Cela entraîne des épidémies diverses, de la délinquance et la prostitution obligée des femmes.
Sort des prisonniers.
Le général Eisenhower l’avait déclaré: « je hais les Allemands ». Les prisonniers de guerre allemands ne furent donc ravitaillé que par intermittence, plusieurs milliers périrent de faim. Ils étaient pourtant protégés par la Convention de Genève. Mais que valent les morceaux de papier quand règne la brutalité des armes ? Les prisonniers des Français furent soumis au même traitement. Seuls les Anglais semblent avoir respecté tant bien que mal leurs obligations.
Quant aux Russes, qui n’avaient pas signé la convention de Genève, on ne sait au juste combien de  prisonniers allemands et d’autres nationalités furent massacrés, torturés et déportés en Sibérie. Ce n’est qu’en 1955 que les derniers survivants furent libérés des camps de travail forcé.
Déportation des populations.
Douze millions de civils allemands, (12,000,000 vous avez bien lu) furent déportés. Principalement des Sudètes (de l’ex-Tchécoslovaquie), Poméranie (qui appartient aujourd’hui à la Pologne), Roumanie et Hongrie. Tous ces gens vivaient depuis des générations dans ces pays. En deux temps, trois mouvements ils furent tous déportés et obligés de rejoindre une Allemagne qu’ils ne connaissaient souvent pas.
Épuration et parodie de procès.
Et pas seulement Nuremberg. Un peu partout des tribunaux improvisés, contrôlés par les alliés, se crurent compétents pour juger des gens qui étaient soupçonnés d’avoir été membre du parti nazi ou d’y avoir milité. Des intellectuels (Heidegger), des  artistes (Furtwängler) mis à pied, sans raison apparente sinon le caprice du vainqueur. Volonté de castration de tout un peuple. Volonté assumée et réalisée.
Guérilla allemande (Werewölf).
C’est un point encore méconnu des suites de la guerre: la guérilla allemande qui, de 1945 à 1948, sévit sur les flancs des alliés. Rien de très grave, des piqûres de moustique, mais quand même des sabotages, quelques officiers et soldats abattus. La répression fut directe et sans pitié, exécution sur place… même pas un semblant de procès. Et population obligée d’assister au martyre.

On nous rétorquera que la guerre c’est comme les omelettes, qu’il faut casser des œufs et qu’elle entraîne toujours dans son sillage du sang, des excréments et des larmes. Ce qui est vrai.
Mais qu’on cesse de nous opposer les crimes des uns (les vaincus) et l’apostolat des autres (les vainqueurs). Et que les donneurs de leçons s’abstiennent.
Tous à la même enseigne !
« Mais quand même, c’est stupéfiant comme l’esprit humain peut s’épanouir à l’ombre de l’abattoir. »
Malcom Lowry,  « Au dessous du volcan ».

Macron va au théâtre …

Un mois avant la chute de Berlin, « Le crépuscule des Dieux » était au programme de la philarmonique de Berlin. Trente jours après, tout était consommé.
On ne va pas comparer Macron, hier aux Bouffes du Nord, à feue S.E le chancelier du IIIe Reich qui n’assistait pas au concert. Il était dans son bunker à le vivre, ce « Crépuscule ». Monsieur Macron, hier soir, aurait dû faire de même. Certes, il n’y a pas les Russes aux portes de Paris, tout juste  quelques manifestants, alertés par un de leurs amis, qui sont venus le chahuter. Du coup, l’hôte de l’Elysée a été, « quelques minutes », exfiltré du théâtre avant d’y retourner une fois que la troupe eut foncé sur les manifestants pour les tenir à distance.
C’est que rien ne va plus dans le royaume de France (et de Navarre). Il y a comme une radicalisation dans l’air et des désirs de rétablir la guillotine sur la ci-devant place royale. Quand les gouvernants n’écoutent plus le peuple, que ce dernier conteste leur légitimité, qu’il dénonce leurs outrances, leurs discours, il ne faut pas s’étonner qu’il use de tout moyen, contestable ou pas, pour se faire entendre. C’est que la démocratie est morte dans cette république. A sa place, un totalitarisme froid, sec et cruel. Et une montée exponentielle et brutale des violences policières, comparable peut-être à ce qu’elle fut durant l’Occupation. Le pays est plus divisé que jamais, l’insécurité a progressé, le mécontentement est général.
Marlène Schiappa fut, de même, évacuée d’un restaurant où elle avait réuni quelques militants avides de l’entendre louer la réforme des retraites initiée par son mentor et maître. Elle était outrée, la pauvre, couvée par les bras puissants et armés de robots en uniforme.  Elle a dû orgasmé …
Et puis, cerise sur le gâteau, un restaurant particulièrement prisé par Emmanuel I, « La Rotonde », parti en fumée. Sûrement un coup des populistes liés à l’extrême-droite et à Ségolène Royal.
Justement, cette dernière vient de ne pas annoncer sa candidature, mais fait comme si c’était déjà plié. Très féminin, cette manière de dire : « pas encore » sur le ton du « tout de suite ».  Elle se pose en recours, un peu comme une bouée crevée sur le pont du Titanic. Jehanne d’ Arc est loin et puis les Anglais l’ont brûlée à Rouen.
Paris n’est plus qu’une poubelle à rat, la France la scène d’un narcissique pervers et le bon peuple taxé de « populiste » a le choix : applaudir ou se taire.
Reste …

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Une si française hypocrisie

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Nous sommes en 2008, la Russie a envahi une partie de la Géorgie pour protéger les citoyens russophones de l’Ossétie du Sud et de l’Abkhazie des visées expansionnistes géorgiennes. L’Europe et le monde occidental s’émeuvent, crient à l’impérialisme et condamnent. Concert de basse-cour apeurée. Sarkozy, matamore s’il en est, se rend à Moscou. Le président de la Russie, c’est Dmitri Mevedev, mais le vrai boss est le premier ministre Vladimir Poutine. C’est lui qui reçoit Sarkozy  qui lui dit tout le mal qu’il pense, lui et ses copains européens, de l’intervention des Russes. Poutine le laisse parler sans rien dire, calmement comme toujours, et puis à la fin :
T’as fini ?
Oui ? répond Sarkozy désarçonné par  l’apathie de Poutine.
Tu vois, lui dit Poutine en écartant quelque peu les mains : ceci est la France. Et ça, la Russie, ajoute-t-il en écartant les bras.
Fin de l’entretien !
La France, c’est tout juste 1% d’émissions de gaz à effet de serre et moins de 1% de la population mondiale. Pourtant, Emmanuel Macron croit dur comme fer que, grâce à l’action de son pays, le monde régénérera et sauvera la planète. Il interdit de chauffer les terrasses des cafés avant de se rendre sur un chantier naval au lancement du tout dernier méga paquebot de croisière dont sa femme est la marraine. Le lendemain, c’est par un communiqué qu’il se félicite de la création, enfin ! d’une ligne aérienne low cost 100% française ! Pour ensuite se rendre à une convention plus ou moins écologiste où il se posera en grand défenseur du monde, ses habitants et autres braves bêtes.
Le gouvernement sait qu’il faut réformer le système des retraites. Pour ce faire il a concocté un texte de loi où tout est prévu, invitant les intéressés à le lire avant de le présenter au Parlement. Dans les autres pays, les gouvernants demandent aux parties concernées de se réunir, de discuter, faire des propositions, les présenter aux ministres et ainsi de suite : cela s’appelle de la concertation. Au final, un texte de loi est adopté, présenté au Parlement etc …
En France pas question que le gouvernement de la république s’abaisse à demander son avis au peuple dont il est issu, la nation est au-dessus de ces contingences populistes. Le gouvernement régule de droit divin républicain !
Résultat : le peuple dans la rue, les transports publics bloqués, les avocats ne plaident plus, les médecins râlent tout comme les infirmières et ainsi de suite. En Allemagne, Belgique, Pays-Bas, Danemark, Italie etc … les gens travaillent jusqu’à 67 ans, après qu’on leur ait expliqué le pourquoi du comment d’une réforme claire, compréhensible, chiffrée. Sans les prendre  pour des demeurés qui doivent, muets, accepter ce que leur suzerain leur dit de faire. C’est que ces pays, mon bon monsieur, n’ont pas connu la gloire d’une sainte révolution qui a donné naissance au monde et aux hommes le droit de se taire !
Il était question, dans cette réforme des retraites, d’un « âge pivot » qu’il fallait atteindre pour bénéficier d’une pension complète. C’était une manière cachée de faire travailler plus longtemps. Au bout d’un mois de grèves, cet « âge pivot » a été remplacé par un « âge d’équilibre », soit bonnet-blanc et blanc-bonnet. On  jouira encore beaucoup de la suite de cette saga, à condition de ne pas prendre le train ou le métro, bien sûr !
Le peuple, c’est avant tout, des hommes, des femmes et des familles, ce n’est pas un concept abstrait que l’on aime à citer dans des livres savants. Ils n’en ont rien à faire, ces braves gens, de la gloire et de la mission civilisatrice de la France ou de la Syldavie Occidentale, ce qu’ils veulent c’est vivre décemment et jouir d’un minimum de respect. Pas grand-chose en somme. La condescendance méprisante que leur voue le gouvernement français, les leçons de leur jeune et fringant président, ils n’en ont rien à cirer. Ils pensent que l’écologie, c’est très bien et passionnant quand les fins de mois ne sont pas difficiles et que la grandeur de la France c’est peut-être aussi le petit bonheur de son peuple.
Le bonheur ?
Mais, alors que la Terre brûle et que les migrants se noient en mer, c’est un gros mot, le bonheur !
Le gouvernement ne doit pas s’occuper de ça. Il a mieux à faire.

Harry et Meghan en nouveaux Kardashian

The Duke and Duchess of Sussex sit alongside the Queen at Buckingham Palace in June 2018

Piers Morgan est un des journalistes les plus lus en Grande Bretagne. Ses commentaires, parfois acides, sont toujours la résultante d’une enquête et d’une réflexion où toute passion est absente. Piers Morgan juge sur pièces, sans état d’âme ni a priori.
Il avait déjà sa petite idée sur le couple que forment le duc et la duchesse de Sussex. Des jeunots plus mondains que malins, une américaine métissée accroc aux belles toilettes, aux magazine de luxe et à la jet set society qui va avec. Fille indigne qui snobe son père, un brave type auquel elle n’a rien à reprocher sinon de ne pas avoir du fric et des vêtements griffés. Piers Morgan l’avait alors traité de « fille indigne ». Et il n’y va pas par quatre chemins : «Il faut déchoir de leurs titres et privilèges et virer ce couple avide, arnaqueur, égoïste et cupide. » écrit-il. Il en a des nausées, notre homme : « Putain, mais pour qui se prennent-ils ? » (Who the f**k do they think they are?), et il continue : “ Dans ma carrière, j’en ai rencontré, des Altesses honteuses, mais pour ce qui est de l’avidité, l’irrespect délibéré, aucune n’atteint le niveau de comportement du « Duc et de la Duchesse de Sussex ». Je mets leurs titres entre guillemets car j’espère que bientôt ils n’en auront plus. ».
Il a raison ce monsieur,  la monarchie consiste à donner corps et âme à un peuple et le symboliser dans ce qu’il peut avoir de plus noble. Des Altesses qui s’imaginent que leur sang bleu suffit à justifier leurs débauches, n’en sont pas. C’est donc une rétrogradation, d’autant plus honteuse que leur position est haute, qui doit sanctionner leurs turpitudes.
Harry n’a jamais été une lumière. Depuis ce jour où, déguisé en officier nazi, il n’avait pas compris pourquoi  les photos de sa fête d’anniversaire avaient soulevé un tel émoi dans la presse et ses lecteurs. Son mariage avec une divorcée américaine  (air connu de la famille royale de Grande-Bretagne) … était perçu comme un dépoussiérage des us et coutumes royaux. Hélas, Meghan, fille venue de rien, actrice au chômage, n’avait pour principal atout que son métissage et son bagout, qualités hautement à la mode par les temps qui courent, mais vides de tout contenu. Et ce fut un flop dès le départ. La duchesse voulait le beurre et l’argent du beurre, confondait famille royale britannique et cheikh d’Arabie, allant même jusqu’à faire déposer le nom : « duc et duchesse de Sussex », comme une vulgaire marque commerciale. Des spécialistes ès marketing auraient prédit au couple une pluie de dollars et un succès assuré sur tout ce qui porterait leur nom : cocotte-minute, chaussures, petites culottes, crèmes antirides et autres PQ. Il y a des braves filles qui, pour manger, vendent leur corps, d’autres leur dignité pour parader et s’exhiber dans des magazines ad hoc.
Les premières, malgré les avanies, l’ont encore, leur dignité.
Les princes doivent épouser des princesses ou des assimilées. Une famille royale, c’est une responsabilité de chaque instant qui exige une préparation quasi militaire, de bonnes études, le sens du devoir et des convenances. C’est pas fait pour les starlettes et leurs lunettes de soleil. Si des altesses ne le sont pas, qu’elles dégagent, placent des assurances, fassent de l’immobilier et disparaissent des radars de « Point du vue, images du monde ».
Piers Morgan reflète l’agacement que suscite ces deux « prétentieux », paresseux » et « hypocrites », auprès des sujets de Sa Majesté. « Qu’ils aillent travailler, s’ils en sont capables ! ». « Et s’ils veulent être les nouveaux Kardashian, qu’ils soient traités comme tels ! »
Off course !

Mariés (et divorcés) au premier regard

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Elle dira « non » …

Nous avons déjà consacré quelques lignes à cette émission: (https://skanderbergblog.wordpress.com/2016/11/08/maries-et-abuses-au-premier-regard/), tout juste bonne pour la poubelle et aux escrocs qui l’animent et la justifient au nom de principes bidons et frauduleux qu’ils nomment «vérité scientifique». Pour rappel, voici un médecin sexologue, un «docteur en psychologie» et un «sociologue du couple» (sic) qui, «au nom de la science», comme ils se plaisent à le répéter en boucle, joignent à l’issue de tests divers et variés (comme le fait de renifler et de coter l’odeur de t-shirts portés trois nuits de suite …) un homme et une femme qui ne se connaissent pas et qui ne se rencontreront qu’à l’hôtel de ville pour célébrer leur mariage. Il faut vraiment vouloir se marier pour accepter ce genre d’expérience digne de docteurs Folamour. A moins que la rémunération et les autres avantages, comme la noce, le voyage qui…

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Le bonobo est-il l’avenir de l’homme ?

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Ainsi donc, monsieur Trump a riposté méchamment au siège de l’ambassade des Etats-Unis à Bagdad où un fonctionnaire civil a été tué par des manifestants armés. Il a donc dezingué un général iranien et son homologue irakien, l’un « bras droit » des mollahs, l’autre fondateur du « Hezbollah » en Irak. Comme réaction, il n’y avait pas plus musclé. C’est que voyez-vous, ce monsieur Trump n’est pas du genre à tendre la joue gauche après s’être fait souffleté sur la droite. Il rend coup pour coup et même un peu plus, histoire de faire passer le goût à ceux qui s’imaginent pouvoir impunément s’en prendre à la nation de Donald Trump. Souvenez-vous de l’attaque de l’ambassade étasunienne à Benghazi. C’était en 2012, l’ambassadeur et un fonctionnaire avait été tués. C’était la première fois qu’un ambassadeur perdait la vie de cette façon. Obama, président adulé par toute la bobobitude du monde, n’avait pas riposté.
Monsieur Trump, lui, montre les dents. Il y a de quoi. On ne peut pas lui donner tort. La première puissance mondiale se doit d’être crainte et respectée. Ce fut ainsi dans l’Histoire et le restera. Bien sûr, il y a en Europe (de l’Ouest) des esprits chagrins et pusillanimes qui crient à la guerre et traitent le président Trump de tous les noms. C’est l’éternelle histoire des chimpanzés et des bonobos.
Le chimpanzé est le primate qui se rapproche le plus de l’hominidé. Les différences génétiques entre lui et le mâle humain sont infimes. Avec les femelles, c’est un peu plus compliqué (comme toujours …), mais reste quand même comparable. Le chimpanzé vit en tribu que domine un mâle reconnu comme chef. Arrive forcément un jour où les jeunes en ont marre que cela soit toujours lui qui se choisisse les plus belles femelles et fasse la loi, Alors il peuvent s’unir pour convenir, à l’avance, d’un nouveau chef qui leur donnera des gages et, fort de leur union, déboulonner le vieux.
Les chimpanzés vivent parfois dans des coins où les ressources ne sont pas riches. Ils ne sont pas gâtés par la nature et doivent se battre pour survivre. Quand ils occupent un territoire, ils ne le partagent pas et le défendent âprement. Ils sont capables de conclure des alliances avec des tribus voisines et, ensemble, se battre contre une ou plusieurs autres tribus. Ils organisent même avec leurs « alliés » des patrouilles frontalières. L’étranger, apriori, ils s’en méfient. Ils pratiquent la sexualité uniquement pour s’accoupler et se reproduire, sont plutôt fidèles à la mère de leur progéniture pour laquelle les pères consacrent beaucoup de temps. Ils peuvent être violents, au point de battre et même violer des femelles (mais c’est rare …). L’homosexualité est quasi inconnue chez eux et l’hédonisme n’est pas leur tasse de thé. Vous aurez compris que c’est une société exclusivement patriarcale. Les bonobos, eux, sont des chimpanzés nains, donc quelque peu dégénérés. Ils vivent dans des coins où les ressources sont facilement disponibles et les prédateurs absents ou presque. Ils détestent se fatiguer, se disputer, faire la guerre. Dès qu’un ennemi se pointe à l’horizon, les femelles s’offrent à lui et l’épuisent au bout de leurs bacchanales débridées. Il est rare qu’ils défendent bec et ongle leur pré carré, et il ne leur viendrait pas à l’esprit de s’allier avec d’autres bonobos pour ce faire. D’ailleurs la notion de tribu est assez lâche chez eux. Toute tribu n’est-elle pas la tribu de tout le monde ? Les femelles dominent le groupe, elles connaissent et soignent leurs enfants dont elles ne savent pas qui en est le père, ce dernier s’en souciant comme de sa première banane. Le sexe est festif, l’homosexualité et l’onanisme fréquents tant chez les mâles que les femelles. L’hédonisme leur aspiration ultime. Des zoologues affirment qu’il y va d’une société égalitaire entre mâles et femelles, d’autres constatent tout simplement que les femelles, en dominant uniquement par le sexe, ont le dessus.
Vous aurez compris que monsieur Trump est plutôt du genre chimpanzé, comme ces messieurs iraniens et chiites irakiens. L’ennui pour ces derniers, c’est que monsieur Trump est plus fort.
Les alliés européens de monsieur Trump, ce sont des bonobos (mâles) qui ont peur de faire la guerre, laissent leurs pays se faire envahir par des hordes afro-asiates et sont soumis aux femes qui, disent-ils, sont au moins égales aux hommes. Ils marient entre eux hommes et femmes et estiment que tous les hommes sont égaux et qu’ils ont tous autant de droits qu’en ont les poissons rouges etc …
On pourrait prolonger la comparaison, mais nos lecteurs ne sont pas des ignares, ils ont parfaitement compris où nous voulions en venir …

Photo : couple (?) de bonobos. (vous l’auriez deviné)

Ordinaire racisme anti-blanc

En France on ne compte plus le nombre de voitures brûlées la nuit de la Saint Sylvestre. En Allemagne, en Belgique et Suède non plus.  Sur le territoire français 100.000 policiers et gendarmes ont été mobilisés. Lamentable non ! Nos marchés de Noël ressemblent à des places fortes, sur l’avenue des Champs Elysées, les badauds  sont fouillés avant d’être admis sur le piétonnier où toute bouteille est interdite. Liberté surveillée, à peine tolérée. Voilà où nous en sommes arrivés ! En Pologne, Lithuanie, Ukraine, pas de problèmes ; les gens s’amusent, s’embrassent, ne sont pas fouillés, ils ne risquent  pas de s’entretuer. Sont-ils plus civilisés que nous ? Nenni ! Ils n’ont tout simplement pas des hordes afro-asiates et leurs descendants qui leur pourrissent la vie, imposent leurs codes religieux, coutumiers et plombent les comptes de la sécurité sociale.
Soyez pas naïfs,  on ne peut vivre ensemble que si l’on partage un minimum de valeurs en commun. Ce peut-être la religion, la proximité géographique, la langue-sœur, une histoire commune. On ne peut vivre harmonieusement ensemble avec des peuples qui nous sont éloignés tant par l’esprit que par l’Histoire. Si tu veux vivre chez les Romains, fais comme les Romains,  enseignait déjà l’adage antique. Et c’est bien normal, chacun est chez soi chez lui et pas chez les autres.
Voici une vidéo d’une madame, africaine d’origine, qui vit en France et visite la Croatie. Et là, elle réalise avec horreur que la Croatie est un pays de blancs … Et rien que de blancs ! Pas un Noir, pas de métis , non, des blancs de blanc ! Et de produire une vidéo stupéfiante pour dénoncer cette homogénéité coupable, rétrograde et contraire à l’esprit qui anime ceux qui en ont un de grand et lumineux, d’esprit !
Vivre ensemble, c’est pas facile et cela n’arrive nulle part. Au Brésil, les Noirs vivent d’un côté, les Blancs de l’autre et au milieu les métis. Aux Etats-Unis, où il n’y pratiquement plus d’Améridiens, tant ils ont été massacrés, c’est pareil, en Argentine aussi où il faut chercher pour trouver un Mapouche. Vous croyez que les Israéliens ont envie de vivre avec les Palestiniens ? Et en Europe, les Catalans n’ont pas que des sentiments tendres pour les Castillans et les Flamands regardent les Wallons de travers.
Faut-il pour autant se faire la guerre et collectionner nos scalps respectifs ? Non, mais il faut être réaliste. : un blanc vit en Europe et un Noir en Afrique. Un blanc en Afrique n’a pas à juger les mœurs d’un Africain et si cela ne lui plaît pas, qu’il rentre chez lui. C’est-y pas normal ?
Un patchwork, cela peut être joli, mais cela ne dure pas longtemps, qu’il y ait contact et même échanges entre nos civilisations, c’est une bonne chose, mais mélanger à tout prix ne mène à rien.
Sinon que des jeunes laissés pour compte et qui ne veulent pas s’assimiler nous flanquent leur rage dans la figure en brûlant des voitures et des équipements publics, en attendant de nous mettre au milieu des flammes et jouir en nous voyant rôtir !