Tokyo : le crépuscule des Jeux

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Les Jeux Olympiques, c’était avant, aujourd’hui Tokyo nous en présente une version pudique célébrée par des athlètes confinés dans leurs chambres spartiates, un public étranger interdit et des Japonais révulsés par ce passe-temps d’un autre âge. Il faut être lucide, les Jeux de Tokyo sont les derniers et le coeur n’y est plus.

Trop chers, trop enflés par une myriade de disciplines grotesques (cyclo-cross, pétanque, trampoline etc ..) les Jeux ne sont plus qu’une entreprise commerciale de divertissement pseudo-sportif financée par des parrains déboursant une fortune pour que leur marque soit à l’honneur. Impayable pour le commun de la troupe, ce sont, par conséquent, toujours les mêmes.
Le coût des Jeux est aussi prohibitifs et facteur de déficits qui mettent des lustres à être épongés. Voyez Montréal, Athènes et tant d’autres. Ce passe-temps était bon pour les années faciles, aujourd’hui, le Covid et la crise financière qui en découlera remettront les pendules à l’heure.

Après Los Angeles, seul un (1 !) candidat s’est présenté: Brisbane (c’est en Australie) il fut bien évidemment choisi !

Ne ratant aucune occasion de se faire voir, le président Macron est allé au Japon déverser sa logorrhée d’auto-satisfactions narcissiques.

A droite, un autre bombe le torse, Xavier Bertrand, petit bonhomme ventripotent pour qui la France est en danger à cause du Rassemblement National, ce qui l’oblige à faire don de sa personne. Ce petit rat des Loges ferait rire s’il n’était aussi nul et pernicieux ! Une autre, à défaut de poitrine, exhibe ses cuisses; Valérie Pécresse, revenante de ces temps médiocres où Sarkozy exhibait sa morgue et son mannequin givré.

Il y en a qui regrettent que le Covid soit si inoffensif. Le temps des purges, d’après eux, serait salutaire et même indispensable.

Nous leur laissons l’entière responsabilité de cette affirmation.

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