Afghanistan : réfugiés annoncés

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L’Afghanistan tombe à toute vitesse entre les mains des Talibans, ce qui était parfaitement prévisible une fois terminé le retrait des vaillantes troupes étasuniennes suivies des non moins vaillantes européennes de toute confession. Les Turcs, curieux n’est-ce pas ? sont toujours sur place, on se demande pourquoi …

Dégât collatéral prévisible, les arrivées massives de « réfugiés afghans ». Quatre-cent mille s’ils vous plaît, ont déposé une demande de visa. Dont quarante-mille pour la France. Vous avez aimé les « réfugiés » syriens, vous adorerez lez Afghans !
Nos vaillantes autorités militaires avaient donné des assurances au personnel indigène indispensable à sa mission, comme les traducteurs. En cas de retrait « forcé », ces collaborateurs seraient dignement accueillis dans le pays qu’ils ont servi. Mais seront-elles tenues ? Rien n’est moins sûr au vu de ce qui s’est passé autrefois au Vietnam ou en Irak. Par contre, des éléments troubles, suspects mêmes, se pavanent déjà dans nos villes avec des visas on ne peut plus en règle, allez donc comprendre …
Les Afghans sont des Aryens (leur pays, dans leur langue, a pour nom : Ariana) ; dans leur veines coulent quelques gouttes du sang d’Alexandre le Grand. Le problème, c’est leur islam pour le moins arriéré. Certes, il y a des »élites » qui ne se sentent pas tenues par ces contingences religieuses et rêvent de vivre à l’anglaise ou l’américaine, mais elles ne constituent qu’une minorité. Les autres, hélas, se sont déjà fait remarquer parleur violence en Europe et ailleurs.
Au rendez-vous de leur accueil, comptez sur toutes ces associations qui n’ont pour seul but que de nous submerger de toute la misère du monde. Un remake de 2015 est donc au programme.
Ceci nous ramène à une question essentielle : pourquoi faire des guerres que, de toute façon, nous ne pouvons gagner ? A quoi servent nos drones sophistiqués, nos logiciels high tech, nos soldats déguisés en robots et des robots déguisés en soldats ? Quelques barbus armés de Kalach d’occasion, vivant d’herbe fraîche et de fromage de chèvre dans des montagnes glacées en sont arrivé à bout. Il est vrai que « la foi déplace les montagnes », cette foi que nous n’avons même plus en nous-mêmes et notre coupable vanité.
Et nous rentrerons la queue basse, nos morts oubliés, les blessés cachés et l’orgueil restauré à coup de slogans creux.

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