Conversations avec Poutine

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« Conversations avec Poutine ». Scandaleux pour la bien-pensance hexagonale, celle des nomades germanopratins pour qui le « maître du Kremlin » est un affreux Tsar réincarné en judoka dévot de l’orthodoxie. Et la politesse courtoise d’Oliver Stone rien moins que de la complicité, voire du recel !
La France « d’en haut », de ces journaleux aux politiques de tous sexes est une nausée !
Nous avons eu droit à des entretiens à bâtons rompus entre un homme qui connaît son métier, Oliver Stone, qui s’intéresse plus à la personnalité de son interlocuteur qu’à sa stratégie politique ou ses ressorts psychologiques et Vladimir Poutine qui se présente comme un Russe de Saint-Petersbourg qui a trouvé sa voie grâce au judo.
Voilà un homme maître de lui et de ses sentiments. Sa parole est riche mais jamais débridée, débitée sans hâte, toujours adagio et altruiste, rarement le président emploie le pronom « je » auquel il préfère le…

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Constellations familiales: ou comment respecter votre violeur

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Il y a de tout là dedans, mais rien de bon. Psychologie « magique », autoritarisme dictatorial,  emprise brutale, mises en scène limites, déconstruction arbitraire de la personnalité. Voyons un peu ce que sont en réalité ces constellations familiales dont Bert Hellinger, prêtre catholique défroqué, est devenu le prophète.
L’homme a été missionnaire. Il se dit psychothérapeute, ce qui n’est pas une référence. Si vous le souhaitez, vous, votre copine, votre frère qui cherche un boulot, tout le monde peut se donner du psychothérapeute. Sur carte de visite ça fait bien.
Bert Hellinger a retenu quelque chose de son ancienne vocation. La confession dans ce qu’elle a de plus littéral, purgeant, humiliant et qu’il veut rédemptrice.
Il n’est pas diplômé en psychologie. Il a, dans le cadre de sa formation de prêtre, étudié la théologie, discipline noble mais qui est aux antipodes d’un Freud ou Jung. Ensuite il est allé chez les…

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Macron n’est pas Tintin !

Macron revient d’Afrique où il s’est produit comme un vieux comédien qui n’amuse plus personne. Il a dit que la Russie était « la seule puissance coloniale et impériale qui soit encore », lui qui préside un pays à confettis d’empire … Antilles, Nouvelle-Calédonie, Guyane, Mayotte, Corse etc … Et sur ce, il taxe « d’hypocrites » les pays Africains qui ne veulent pas s’immiscer dans la querelle russo-russe en Ukraine. Pour enchaîner aussitôt d’un ton d’instit’ sur : « la corruption endémique en Afrique qu’il faut éradiquer ». Après, il est reparti content. De peu, de rien, mais content, le mari de Brigitte ! Et à Paris, stupeur et tremblement ! il reçoit en grande pompes et gardes (très républicains) le prince héritier de la tribu des Saoud, Salman. Grognements par ci vitupérations par là, analyse de texte ailleurs …
Que voulez-vous qu’il fasse ? La France ne compte plus sur la scène internationale, l’Europe de même qui a tant besoin de pétrole, d’électricité, de moutarde et d’intelligence (dernier point pas vraiment urgent pour d’aucuns). Alors, il doit bien recevoir avec les honneurs ce potentat oriental qui décide de la vie ou de la mort de qui lui plaît ou déplaît, considère, conformément à sa religion, les femmes comme des êtres inférieurs et les  « mécréants » de l’espèce de son hôte comme des pompes à fric.
C’est que les Européens jouent aux matamores mais ne sont que poupées de chiffons. Quand un pays n’a pas de matières premières, il est faible. L’Europe de Bruxelles n’en a pas. Elle en avait dans ses colonies … mais ça, c’était « avant » !
L’Europe avait une civilisation, aujourd’hui elle a des machines qui remplacent de plus en plus son cerveau. Elle avait des penseurs, elle n’a plus que des moralistes. Elle avait une armée devenue depuis une « force de défense ». La nature n’aime pas ses composantes débilitées, toutes, sans exception disparaissent.
L’Europe est morte depuis longtemps, seul le constat de décès se fait attendre !

Viktor Orban est Hongrois et pas métis …

Les peuples forts produisent des dirigeants forts. Normal, les chats ne font pas de souris. En Hongrie, monsieur Orban préside aux destinées des Magyars. Ces derniers sont des slaves qui parlent une langue ougrienne de la famille du finnois et du turc, donc non-européenne, mais peu importe, ils sont blancs, chrétiens et très jaloux de leur identité nationale. Ils ont raison. Si les Hongrois parlent une langue voisine du turc c’est qu’ils ont dû se battre pour échapper au joug ottoman. Mais ils ne furent pas indépendants pour autant, l’empire autrichien des Habsbourg les intégra dans ce qui fut une première et historique tentative d’Europe confédérale et leur pays devint « L’Autriche-Hongrie ». Les folies des hommes et l’holocauste de la première guerre mondiale mirent à bas l’empire des Habsbourg et ce fut, en vérité, un drame dont nous ne cessons pas de subir les conséquences. Après un intermède indépendant, voilà que les Hongrois se retrouvent sous la botte soviétique dans une dure et humiliante occupation. Leur révolte de 1956 se clôtura par un bain de sang et des milliers de jeunes gens furent déportés dans les infects goulags de la lointaine et glaciale Sibérie. Après, ce fut la liberté retrouvée, l’intégration dans l’Union Européenne et les premières désillusions. Le capitalisme, c’est une loi d’airain sur un air de rock et de Coca Cola-McDO. Il y en a pour qui ça passe, mais si ça casse, c’est chacun pour soi. Et puis, à la croyance en la toute-puissance du dogme communiste succède celle en la sainte loi du marché, l’homme soviétique passe la main au consommateur, les slogans des uns ressemblent aux slogans des autres, la forme a changé, le fond demeure. Alors, quand les instances de Bruxelles ont décrété que les calibrages des cornichons hongrois devaient être revus et corrigés, l’alcool de prune distillé sous telle et telle condition, le goulasch concocté stérilisé et patati et patata, les Hongrois se sont demandé s’ils n’étaient pas tombés de Charybde en Scylla. En plus, les fonctionnaires de Bruxelles imposaient des programmes d’intégration de leurs romanichels, peuplades avec lesquelles ils n’ont jamais eu de bonnes et chaleureuses relations. C’était quand même bizarre que des gens qui n’avaient jamais vu un romanichel de près viennent leur dire comment faire. Toutes ces dispositions leur semblaient ridicules et invasives, mais ce le fut moins quand on leur imposa de laisser passer des migrants qui rentraient dans leur pays sans s’annoncer. C’est des gens très hospitaliers les Hongrois, mais ils aiment qu’on sonne à la porte avant de la pousser, vous en feriez autant, non ?
Viktor Orban ne s’est pas laissé intimider. L’homme n’a pas peur des mots, ni des jugements d’autrui. La Hongrie, martèle-t-il, est un pays chrétien qui n’ pas à accueillir des musulmans. En visite en Roumanie, il remet ça: nous n’avons pas à nous métisser, nous sommes ce que nous sommes et personne ne nous obligera à mélanger notre sang, la Hongrie est un pays blanc et ce n’est pas demain que cela va changer. Voilà le genre de type qui ne déclarera pas, comme Emmanuel Macron que l’islam fait partie du patrimoine français. Les ancêtres de Viktor Orban combattaient les Turcs le glaive d’une main, le crucifix de l’autre. Ceux de monsieur Macron fabriquaient des guillotines et coupaient la tête aux curés. Aculturé, métissé, l’entendement perverti par des sophismes pervers, que voulez-vous qu’il y ait de commun entre un Hongrois et un Français de cette trempe ? Rien !
L’un préserve son pays de la barbarie et, ce faisant, s’inscrit dans la lignée de ses ancêtres, l’autre parle de principes creux pour détruire l’Histoire et saper l’avenir.
L’avenir de l’Europe ou ce qu’il en reste, est à l’Est.

Pessoa n’est pas personne

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Il est de ces poètes qui cultivent la mort par pur désir d’immortalité. Pessoa désormais jouit de la sienne, et nous la donne en partage, muito obrigado ! L’égal d’un Valery, Rilke, Cavafy, Saint-John-Perse ou Iqbal. C’est Fernando Pessoa * (un de ses pseudonymes avec Alavaro Campos).
Il est mort, tout à fait inconnu et au terme d’une vie banale, en 1935. Aujourd’ui, vous pouvez le voir, immortalisé, à la terrasse du café « Brasileira », Praça de Camoës à Lisbonne, buvant pour toute l’éternité, un dernier petit noir.
« La vie est un mal, qu’il faut avoir savourer »
Tout Pessoa est dans ce type de proposition paradoxale, ambiguë, tout en porte-à-faux.
La vie, il faut avoir la savourer même si elle est un mal.
Il faut la savourer car la mort nous attend  tous au tournant. La savourer malgré la maladie et la souffrance qui, trop souvent, la…

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Bombe et retardement

Feu au lac, soleil en furie, chaleur et soif, inflation galopante, soldes désastres, France ingouvernable, euro effondré, carburant impayable. Bref, vacances grillées !
Et que fait l’Europe de Bruxelles ? Elle nous dit tout sourire qu’il faut se préparer à une « économie de guerre », et Macron de surenchérir : faudra être sobre, se contenter de peu, ne pas consommer comme des malades, tout ça va coûter un prix qui sera cher etc … On attendra, ils ajoutent, que l’Azerbaïdjan daigne nous ravitailler, cela prendra du temps, les Kirghizes aussi nous vendront leur gaz, quand ils en auront trouvé, promis, juré ! Les Étasuniens construisent des gaziers pour nous livrer le leur, issus des schistes, bien beaux, bien chers, pas comme ces gaz vulgaires de la taïga sibérienne !
Et puis souriez braves gens, vous recevrez bientôt une prime de cent euros, elle est pas belle la vie ? Et tout ça c’est pour l’Ukraine, la démocratie, les droits de l’homme, de la femme, des poissons rouges. Voilà le petit quotidien mesquin que vous mitonnent ces Excellences qui, en plus, commémorent avec de creuses paroles les exactions d’il y a quatre-vingt ans, brandissent le sceptre de la résurgence de l’antisémitisme de droite car, bien sûr, la « bête immonde » etc … (air connu) est toujours à droite de l’écran. Sauf que l’antisémitisme il est bien présent et même actif en banlieue, dans les quartiers à majorité absolue musulmane et que ce ne sont pas des nervis de cette extrême droite qui ourdissent des attentats contre les Juifs. C’est dur à admettre pour d’aucuns qui les parent de toutes les vertus, mais c’est comme ça !
A l’Assemblée Nationale, les sbires de Mélenchon y vont à fond la caisse : tweet insultants, amalgames limites, insultes, exhibitions. On passera bientôt aux coups en attendant la guerre qu’ils nous mitonnent et à laquelle nous ne voulons pas croire car nous ne voulons pas la faire et sommes prêts à toutes les soumissions, veuleries, reniements, apostasies. Ne pas se passer de Cyril Hanouna, d’apéro, de vacances … tout va très bien qui se termine en chanson.
Même sur un bémol !

LGBT, un ambassadeur pas gai ..

Il y a dans le gouvernement de Macron une madame Cayeux qui est ministre de quelque chose, elle vient d’un parti de droite et tint, il y a quelques années, des propos somme toute assez logiques du type : le mariage, c’est fait pour un homme et une femme et je crois qu’un enfant a besoin et même le droit d’avoir un père et une mère. Cela tombe sous le sens, ne pensez-vous pas ? Voilà que dix ans après, les lobbies LGTB etc montent au front et exigent sa démission car, en plus, la madame ajoute qu’elle a des amis parmi « ces gens-là ». Quelle outrecuidance, quel manque de respect ! Et la machine s’emballe, les procureurs de la bien-pensançe peaufinent leurs réquisitoires et les bourreaux s’affairent du côté des fers et des liens. C’est qu’il est extrêmement dangereux, braves gens, de dire quoi que ce soit qui ne réponde pas aux critères de la louange, l’adoration ou l’humble soumission, au sujet de « ces gens-là ». Ils ont la dent dure, ne font pas de quartier, le pardon leur est inconnu et l’odeur du sang les émoustille.
Récemment la question fut posée : dire qu’un homme ne peut être « enceint », est-ce un propos transphobe ? Voilà où nous en sommes !
Madame Borne, ce robot asexué qui nous sert de :ministre premier, vient de nous annoncer une innovation remarquable; la création d’un poste d’ambassadeur des droits des LGBT etc … rien de plus rien de moins. Pas une commission, pas un observatoire (il existe déjà), non ! un ambassadeur, comme celui que nous avons chez le Pape ou à l’ONU. Nous avons déjà un ambassadeur des pôles, alors que nous sommes loin de ceux du Nord comme du Sud, ce sera donc moins ridicule, car des LGBT, nous en avons un pour cent de la population en comptant large. Ce sera sans doute un énarque qui aura ses entrées (sans jeu de mot) un peu partout et sera reçu avec la déférence due aux Excellences. Le tout rémunéré par le contribuable qui est là pour ça.
On va être bref, mes amis, et conclure que « ces gens-là » représentent un pour cent (1%) de la population mondiale. Qu’ils aient droit au respect et à la sécurité est légitime. Mais il sont en dehors de la norme laquelle veut qu’il y ait des hommes et des femmes qui s’unissent pour faire (entre autre) des enfants qui ont donc un père et sont nés du ventre de la femme. C’est peut-être ringard, mais la nature est comme ça. De là à exiger que ce qui n’est pas la norme soit intégrée dans cette dernière il y a un pas que d’aucuns franchissent avec l’allégresse d’un gosse qui casse ses jouets, en l’occurrence nos valeurs héritées des Grecs et des Chrétiens. Caligula avait épousé son cheval. Il aurait aimé faire de même avec son giton favori, mais il savait que ce faisant il signait son arrêt de mort.
Quant à nous, disons-le franchement et mettons en garde ces messieurs pas messieurs et dames pas trop non plus : marre de vos criailleries paranoïaques, trop c’est trop, il n’y a pas que vous au monde, il y a nous aussi et nous sommes 99 % !
Compris ?

Vladimir poutine, portrait d’un chef.

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Hier sur France 2, reportage sur Vladimir Poutine. Comme prévu, le propos du commentateur, Laurent Delahousse, le bô gosse de la chaîne, et de sa rédaction est critique, mitigé et quelque peu arrogant. Et qu’avons-nous vu ? Un chef. D’Etat, certes, mais aussi chef tout court. Pas étonnant que 70 % des Français, confrontés à des débiles castrés et manipulateurs, apprécient le personnage, franc, direct, froid mais compétent. Et que des pantins aux ordres se montrent frileux. Le giton est une tarlouze pleureuse. Les russes forment un peuple dur à la tâche, patriote, croyant et forgé par des siècles de vie éprouvante souvent, exaltante par moment. Normal, dans ce contexte, que personne, ni l’Empereur psychopathe des Français, ni Hitler n’aient réussi à le conquérir encore moins le dominer. Qu’est-ce qu’il croyait, Sarkozy, petit pantin névrosé, en allant  trouver Poutine en tête-à tête ? Qu’il allait lui faire la leçon comme…

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Les divagations Guidestones explosées

Je vais vous raconter une histoire. Il y a quelques quarante ans, des hommes puissants se réunirent dans un bureau ultra-chic du dernier étage d’un immeuble ultra-chic de New-York (ou Londres, mais peu importe), et ils tirèrent durant deux jours les conclusions des rapports qu’ils avaient commandés aux meilleurs économistes, démographes, sociologues et autres experts et spécialistes du moment.
Ils étaient tous issus des meilleurs universités anglo-saxonnes, de très bonnes familles et protestants bon teint. Les deux Japonais, issus d’une célèbre ligné de samouraïs, ne faisaient pas tâche d’huile.
Ils constatèrent qu’il y avait vraiment trop d’habitants sur la Terre et, parmi eux, une majorité d’imbéciles même pas heureux, d’improductifs, de parasites totaux et de malades congénitaux. Trop, c’est trop !
Il faudrait, pensèrent-ils, réduire la population du globe à cinq-cents millions d’âmes, toutes en bonne santé et intelligentes avec ça. Elles parleraient une langue commune ; l’anglais, cela va de soi. Les questions métaphysiques, religieuses et passionnelles, telle que l’art, ne seraient pas oubliées, mais abordées avec modération.
Bien sûr, pas de guerre, un gouvernement mondial, un droit uniforme, une harmonie avec la nature et de bonnes relations entre gentlemen qui savent se tenir à table, blablabla …
Bien beau tout ça, comme le dit haut et fort Yoko Ono, la femme de qui vous savez. Mais comment faire quand il y a l’Union Soviétique, la Chine qui se réveille, le mur de Berlin ?
Alors, nos bonhommes décidèrent de graver leur programme dans la pierre et cela donna les Georgia Guidestones ces blocs de granite, imitation de Stonehenge que nos compères, soucieux d’anonymat commandèrent sous le pseudonyme R.C Rosenkreutz (pigé?). Vous pouvez aller à Elberton (Géorgie) admirer cette œuvre et lire les cogitations de nos penseurs.
Aujourd’hui, plus d’Union Soviétique, une Chine mercantile et une Afrique qui explose de misère. Pourquoi ne pas mettre un peu d’ordre dans tout cela ? Une « bonne guerre » ? Pourquoi pas, mais pas atomique quand même; un genre de conflit localisé, comme en Ukraine, par exemple. Ou une « bonne maladie » qui abat les plus fragiles, épargnant les plus forts et jeunes ? Justement, une grippe bien méchante comme cette espagnole qui était asiatique, mais passons.
Et cela nous donna le Covid 19. Terrible déception ! Ce virus est un veau. Il tue pratiquement pas, les Africains lui résistent et les Indiens aussi, y’a que les occidentaux obèses et poly-insuffisants qui succombent. Un flop !
Bof ! se disent nos hommes, ce n’est que partie remise, déjà ils ont peur, excellente chose, et puis on a dans nos arsenaux d’autres virus, l’Ebola, revu et amélioré pourrait très bien servir en Afrique avant l’Europe.
Ce qu’ils n’ont pas prévu, c’est que d’aucuns en ont eu marre de leurs divagations ultra élitistes et ont fait exploser leurs belles pierres de granit. En mille morceaux ! Rosenkreutz n’est pas content, Bilderberg non plus et Skull and Bones encore moins. Et la guerre en Ukraine, elle n’est pas de leur cru qui déjoue leurs prévisions. C’est triste de se faire exploser par des minables.
Non ?

Macron en sauveur du monde

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Aujourd’hui, sa première ministre doit se présenter devant une Assemblée plutôt réservée. Elle ne sollicitera pas la confiance, mais il s’en fout. C’est qu’il a une autre idée derrière la tête, ce guide que le monde entier nous envie. Il veut, ce brave jeune homme, que la paix règne sur la terre. Rien de moins ! Il a donc dépêché ses représentants à l’Onu pour que le conseil de sécurité œuvre dans ce sens et tout le monde est bien content. Le secrétaire général de ce grand-machin, éclipsé, le pauvre, par celui de l’Organisation mondiale de la santé, en remet même une couche et parle de stratégie « audacieuse » et « généreuse » et tout le monde d’applaudir au conseil de sécurité, sauf les Etasuniens qui trouvent que le moment n’est pas choisi et que la paix, il faudrait la négocier quand les Russes auront perdu la guerre, ce qui est vite dit !

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