Michel Houellebecq et le retardé congénital

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Michel Houellebecq, le 5 novembre 2014.

Jugeant des responsabilités dans les évènements tragiques de la semaine dernière, Michel Houellebecq, dans une entrevue avec le Corriere della sera, a ces mots sans fards : ll est très peu probable que l’insignifiant opportuniste qui occupe le poste de chef de l’État ou les actes dignes d’un retardé congénital du Premier ministre, sans citer les ténors de l’opposition, sortent avec les honneurs de cet examen.  Croyez-vous que ses propos ont été retenus tels quels dans la presse bien-pensante de cette française république ? Nenni ! Michel Houellebecq est ignoré, snobé, ostracisé et présenté comme un phénomène talentueux mais déjanté.
L’écrivain, auteur de « Soumission», reprend les griefs que tout homme censé formule à l’égard des excellences qui trinquent sous les lambris : leur aveuglement face à l’expansion de l’islam, leur ignorance des réalités des banlieues, leur fanatique idéologie, les aventures militaires irresponsables en Libye et Syrie et, cerise…

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Nous et les Barbares

The atmosphere became heated when men argued before a fight broke out yesterday evening during the carnival in London

Barbare, en grec βάρϐαρος, est un terme qui désigne tous les peuples qui ne parlent pas grec et donc ne partagent pas les valeurs de la civilisation grecque. L’importance accordée à la langue est primordiale, la langue est l’expression de la pensée, la pensée traduit les structures mentales, bref, être Grec, c’est parler grec, certes, mais aussi partager les structures mentales qui fondent les valeurs des Grecs. Ceux qui ne parlent pas grec sont donc des Barbares.
Et aujourd’hui, les Barbares sont parmi nous. Monsieur Jean-Pierre Chevènement l’a dit clairement, hier, quand parlant de la Seine-Saint-Denis, il déclara : Il y a dans la Seine- Saint-Denis 135 nationalités dont une a pratiquement disparu. Et ces sophistes patentés que sont les journaleux d’y aller de leurs persiflages : c’est faux ce que raconte monsieur Chevènement, il n’y a que trente pour cent d’étrangers en Seine-Saint-Denis, et 70% de Français de souche ou naturalisés !  Ils se foutent de nous, ces jobastres. Ils s’imaginent que nous allons considérer français ces femmes voilées, ces arabes parlant bled et habillés pareils et les Africains qui tapent sur un djembé ?   Etre français, c’est pas que des papiers, c’est une culture, une façon de vivre, de penser, de raisonner. Pour faire simple ; être français c’est s’habiller comme le font les Européens blancs et en priorité parler la langue de Rabelais et Villon. Considérer comme Français des Barbares dans l’acceptation grecque du terme, c’est dénaturer la nationalité française qui pour être acquise présuppose des facteurs d’idonéité dans le chef du requérant (à moins que la loi n’ait changé, ce qui n’est pas impossible vu le laxisme érigé en dogme chez nos légiférant).
Dans toute société, il y eut des étrangers vivant en marge des autochtones. En Grèce ils avaient pour nom : μέτοικος (métèques, ce qui signifie « ceux qui vivent auprès de notre maison », mais qui n’en font pas partie). Les métèques n’avaient pas le droit de vote et étaient expulsables ad libitum. En France, à partir du moment où l’on prend un Barbare pour un Français, on brouille les cartes, mais pas celles des braves gens que les journaleux et les politiques méprisent et qui ne s’y trompent pas : un Français, ce n’est pas seulement celui qui administrativement l’est.
On prépare, dès lors, les conditions objectives d’un affrontement violent entre autochtones et métèques (appelons-les comme ça), ces derniers ne souhaitant pas s’assimiler dans la société où ils vivent et, par provocation, lui imposent leurs coutumes alimentaires, vestimentaires et religieuses.
Or, les choses sont pourtant claires : les Français vivent en France, pas en Algérie ou au Mali. Ils mangent, s’habillent, parlent et pensent « à la française » et s’ils ne le souhaitent pas, ils n’ont pas à supporter la nourriture hallal, les appels à la prière, les burkinis, voiles, djellabas, barbes et autres loukoums frelatés dont ils n’ont que faire. Ils sont chez eux, les autres pas ! Ce n’est pas aux Français de « vivre avec » ces gens-là, c’est à eux de s’assimiler ou de faire leurs valises.
Si nos politiques ne le comprennent pas, les braves gens, eux, ne seront pas indéfiniment patients. Un  jour viendra où la cohabitation ne sera plus possible et alors la violence prendra le dessus. Voyez ce restaurateur de Tremblay (Seine-Saint-Denis). Il ne souhaite pas servir des femmes voilées, ce qui est son droit. Elles le provoquent, le traitent de « raciste » ; il rétorque que les racistes n’ont tué personne, les musulmans oui. Elles filment la scène, les rusées, et puis, outrées, vont pleurnicher chez les autorités ad hoc. Une ministre rentre en scène,  joue l’indignation et dit qu’elle va alerter qui de droit. Le restaurateur est placé sous protection policière. Dans cette commune où « il y a une nationalité qui a quasiment disparu », le bonhomme pourra fermer son commerce, pas de place pour un blanc en musulmanie.
Si nous ne procédons pas sans retard à une politique de remigration, forcée s’il le faut, notre compte sera bon. C’est notre avenir et celui de nos enfants qui est en jeu !

« Vivre ensemble » ? Mais le veulent-ils ?

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Au neuvième siècle, un navire de réfugiés Parsi mouillât dans la baie de Bombay et demanda aux autorités de la ville d’accueillir ces braves gens qui fuyaient les persécutions musulmanes dans leur pays, la Perse. Ils pratiquaient la religion de Zoroastre et les islamistes avaient envers cette croyance comme un préjugé qui les amenait à massacrer tout ceux qui n’apostasiaient pas.  Comme quoi, rien de nouveau sous le soleil …
Le conseil municipal de Bombay décida que ces malheureux pouvaient débarquer, mais à une condition : il fallait que leurs femmes s’habillassent comme les  femmes de Bombay, c’est-à-dire d’un sari. Ce que ces gens acceptèrent et fait qu’aujourd’hui, des siècles après on peut voir encore  dans cette ville des femmes en sari blanc, ce sont les descendantes des « Parsi » de jadis. Il faudrait méditer cette histoire, ne le pensez-vous pas ?
« Vivre ensemble », voilà ce que l’on nous…

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La Liberté n’est pas faite pour les veaux

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Le mot s’inscrit au fronton de tous les établissements publics : « Liberté ». Il est invoqué pour un oui ou pour un non, il est ? disent-ils, une « valeur universelle ». En philosophie, des bibliothèques entières lui sont consacrées, contentons-nous, dans le cadre de ces quelques lignes de partir de la définition suivante : l’homme libre est l’état de celui qui fait ce qu’il veut et non pas ce que veut un autre.
Ce qui fait que peu d’hommes seraient libres.  Tous sont sujets de liens divers et variés qui les attachent à leur travail, leur famille, l’administration etc …  Au boulot, il y a le patron, à la famille des obligations, l’Etat réclame son dû d’impôts etc … Bref, l’homme qui veut faire ce qu’il veut n’existe pas, donc l’homme n’est pas libre.
Pas si vite …
Partons d’une définition apophatique : la liberté est l’état de l’homme qui choisit librement ses attaches. Celui qui n’est pas forcé de faire un travail qui ne lui sied pas, d’épouser un conjoint qu’il n’a pas agréé ou de payer des impôts en vertu de l’ukase du prince. Celui-là est libre.
La liberté n’est donc pas absolue, elle ne l’est même jamais.  N’étant in fine que celle du choix, elle s’estompe dès que ce dernier est fait.
On le voit, la liberté n’a de sens qu’à partir du moment où librement  l’homme accepte de renoncer à cette dernière. A ce renoncement, succède la responsabilité.  L’homme libre est un homme responsable.
Liberté égale choix, égale responsabilité. L’homme libre est un homme qui s’assume.
S’assumer c’est être en position de reconnaître les effets de ses actes et de prendre sa part de responsabilité. Aussi simple que ça.
Mais y-a-il beaucoup d’hommes qui se reconnaissent dans ce qui précède ?
Dans une société où, chaque jour davantage, le citoyen est infantilisé et la proie quotidienne de slogans publicitaires, politiques et autres n’est-il pas devenu un objet de consommation que l’on flatte et matraque plutôt qu’un être qui pense, choisit et assume ?
Reste une autre interrogation : l’homme aspire-t-il à la liberté de choix ?  La liberté est-elle une valeur universelle ?
Notre réponse sera nuancée. Certes, tous les hommes rêvent d’être libres dans le premier sens du terme : faire ce qui leur plaît. Mais ils apprennent très vite que c’est impossible et que la liberté, comme nous l’avons montré supra,  n’est que celle du choix lequel entraîne la responsabilité de l’électeur. Dès lors, nombreux sont ceux qui par facilité, ignorance, bêtise ou peur s’abstiennent de choisir. Ils préfèrent qu’un tiers assume à leur place et leur dise quoi faire ; si ce n’est valorisant, c’est du moins rassurant. Et puis, ce faisant, ils cultivent le « pas d’histoires » cher à ceux qui préfèrent l’ombre à la lumière.
L’exercice de la liberté, qui est celui du choix, n’est donc pas mince affaire, elle exige l’implication de celui qui choisit et qui répondra de son choix. Elle est réservée à une minorité qui s’assume. Elle n’est donc pas une valeur universelle, mais celle d’une élite.
Mettre « liberté » à toutes les sauces est vite fait, mais la sauce tourne très vite entre des mains peu expertes, tourne et vire à l’aigre.
La liberté, privilège de l’homme noble.
Un esprit libre prend des libertés même à l’égard de la liberté. ( Francis Picabia)

 

Les sulfureux et risibles secrets de la franc-maçonnerie

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Pamphlet anti-maçonnique écrit par Léo Taxil

Le « pouvoir occulte » des Francs-Maçons, « l’influence secrète des francs-maçons », sont des « marronniers » que les journalistes en mal de papier vous ressortent tous les trois ou quatre mois. La réalité est beaucoup plus prosaïque: le « pouvoir » des francs-maçons » est, aujourd’hui, une légende. Il y eut, c’est vrai, dans le passé, une influence des Loges sur la vie politique, mais curieusement, ce fut toujours dans le sens voulu par le pouvoir en place. Et surtout quand ce pouvoir était autoritaire. Rétroactes :
Sous l’Ancien Régime, la franc-maçonnerie est une « société de plaisir » , pour reprendre le mot de Joseph de Maistre, qui en est. Aristocratie, haute bourgeoisie, clergé mondain, tout le monde fréquente les Loges et s’y amuse. Les femmes fondent des « loges d’adoption » et au moment des agapes, rejoignent ces messieurs qui…

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Nicolas Sarkozy part en campagne …

ou « Tout pour Nicolas » ?

Monsieur Nicolas Sarkozy est candidat à la candidature. L’insoutenable mystère, qui jamais n’en fut un, est donc levé : il y va !  L’homme n’est pas à sous-estimer, c’est une redoutable bête politique, comparable en cela à Jacques Chirac. Bon orateur, il sait remuer les foules,  connaît les trucs, les coulisses, les combines, les gens qu’il faut, flatte les médias, tutoie les puissants, joue la comédie, bref, ses chances de remporter les primaires de son parti et, partant l’élection présidentielle, sont réelles.
En face de lui, il faut bien le dire, il n’y a que des sous-fifres : Alain Juppé, un mou qui a de la classe, ce qui est bien tout ce qui le différencie de François Hollande. C’est l’homme chouchouté par des médias qui font le jeu d’intérêts européens, mondialistes é tutti quanti, mais pour le moment seulement, si demain Nicolas Sarkozy prend de l’avance, ces messieurs retourneront leur veste. Et Nicolas Sarkozy sera confronté au deuxième tour à madame Le Pen.
La stratégie de Sarkozy est très ciblée, c’est purement et simplement un copier-coller du programme du Front National en matière d’identité nationale et de lutte contre l’immigration. Toutes les mesures exécrées par ces concurrents, y compris dans son propre camp, il les reprend sans vergogne, comme le si contesté placement en rétention des fichés « S », il fait sien les quotas des retours en les amplifiant etc … C’est très bien, nous serions tenté d’applaudir, encore que nous pourrions nous demander pourquoi choisir la copie alors que l’original, nous l’avons en la personne de madame Le Pen ?
Seulement voilà, madame Le Pen, au deuxième tour, ne fera pas le poids face à Nicolas Sarkozy. Ce n’est pas du défaitisme ce que nous écrivons mais procède d’un réalisme lucide et désenchanté. Rien n’est plus conservateur qu’un Français qui râle, une vraie névrosée celui-là qui tremble face au changement qui vient et qui pourrait le sortir de sa bienheureuse et avinée torpeur. Nicolas Sarkozy est un homme roué, un politicien dans toute la dimension péjorative du terme, un personnage plutôt inculte,  manoeuvrant au gré des sondages d’opinion, et s’il intitule son dernier opus : « Tout pour la France », c’est « Tout pour Nicolas » qui l’anime.
Alors, quel crédit accorder à monsieur Sarkozy ?
Aucun !
Les choses étant ce qu’elles sont, il nous faut cependant nous attendre à sa réélection et, dès lors, à prévoir ce qui restera de toutes les promesses d’un candidat qui nous a, président, habitué à des reniements innombrables.
L’œil viré sur les sondages, Nicolas Sarkozy sait que la préoccupation majeure des Français (et des Européens) est, outre le chômage et la crise économique, le flux migratoire incontrôlé qui déferle sur l’Europe et la perte de l’identité nationale devant l’agressivité des revendications communautaires et religieuses. En clair : les Français en ont marre des arabes et de leur islam de merde !
Voilà, ce n’est pas dit avec élégance, nous le concédons volontiers, mais c’est comme ça. Et tant que Nicolas Sarkozy, aura en point de mire l’immigration illégale et l’identité nationale, les Français, dans leur majorité, le soutiendront. Le moment est particulièrement choisi et propice. Après, en matière économique, financière et sociale, ils le critiqueront (les Français ne sont jamais contents) mais ses mesures passeront tant bien que mal. On peut donc raisonnablement penser que l’axe de sa politique se focalisera sur ces points car il sait qu’ils sont le plus populaires et qu’il ne tirera pas profit en trahissant sa promesse électorale. Et son programme dans ces matières, répétons-le, est celui du Front National.
Il  promet aussi, monsieur Sarkozy, de remettre de l’ordre dans l’Union Européenne, une promesse de plus qu’il aura du mal à tenir tant cette institution dirigée de facto par l’Allemagne, est cristallisée dans ses schémas létaux. Or, changer de politique passera nécessairement par une révision des directives européennes dans une série de domaine, et là il y aura comme une partie de bras de fer entre l’Union Européenne et tout ou partie des pays membres, Allemagne en tête. Pour transformer l’Europe de Bruxelles, il faudrait qu’elle implose, ce qui arrivera mais prendra du temps. Trop de temps.
Tout ce qui précède nous conforte dans la conviction que seule une révolution nationale, identitaire et européenne nous sortira de la mouise. Ce ne sont pas ces partis compromis, corrompus, à la traîne de lobbys divers et variés qui changeront grand-chose.
Alors Nicolas Sarkozy président …
Une péripétie, une de plus !

Le Pape et la « praxis lesbienne »

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Dimanche dernier, dans son homélie, le Pape a justifié sa visite à Lesbos et son retour avec douze immigrés (tous musulmans) par la praxis laquelle s’impose, selon lui, avant le Verbe. Si cela n’est pas hérétique, c’est quoi ? Remarquons que venant d’un Pape jésuite, il ne faut pas s’étonner. Les Jésuites sont ainsi faits qu’ils font feu de tout bois. Alors si demain il faut s’allier au Diable pour instaurer, non pas la Cité de Dieu, mais plutôt la leur, pourquoi pas ? Sauf que le christianisme c’est reconnaître le Verbe, c’est-à-dire la Parole vivifiante, illuminante, alors que d’autres restent dans les ténèbres. Et que le christianisme, ce n’est pas d’abord l’action, mais l’action sanctifiée par l’Esprit-Saint. Ce n’est pas faire n’importe quoi devant les laptop et les stylos des journalistes.
La praxis, soit l’action pour l’action (faire le bien pour l’amour du bien lui-même, p.ex) est parfaitement respectable même…

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La Hache des Steppes

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En 1973 paraît  Le Camp des Saints, livre prophétique de Jean Raspail dans lequel il raconte l’invasion de l’Europe par un million de migrants indiens qui s’échouent sur la plage de Saint Tropez. Avant-garde d’autres hères qui, en deux temps trois mouvements, prennent possession du continent, aidés par la candeur complice et criminelle des élites politiques, religieuses, artistiques et dégénérées de tout poil. Prophétie qu’aujourd’hui nous vivons au quotidien.  Ce livre, bien sûr, a fait parler de lui et son auteur fut traité de tous les noms. Les bobos  décadents tenaient déjà le haut du pavé.
Un an après, La hache des steppes est édité et passe plutôt inaperçu après le scandale du Camp des Saints. Ce livre qui consacre la maturité littéraire de son auteur, se présente volens nolens comme une suite en filigrane du précédent. Jean Raspail nous retrace la fin de quelques peuples agonisants. Caraïbes d’Amérique, Aïnos…

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Calais : l’invasion hors contrôle

Pendant que l’on vous saoule avec des Jeux Olympiques de merde, des burkinis à boudins, la vermine afro-asiate, elle, continue d’affluer sur nos terres opulentes. Bien sûr, les médias ne vous en parlent pas, si ce n’est pour vous informer, trémolos dans la voix, que des pauvres gens sont morts noyés dans la mer-méditerranée et sortez les kleenex.
Dans notre beau et si malheureux pays, la ville de Calais n’en peut plus, ce n’est pas votre serviteur qui l’écrit, mais la maire de Calais, une madame Natacha Bouchart qui, il n’y a guère, prenait des gants pour évoquer cette engeance. Aujourd’hui, déniaisée, elle  y va franco face aux caméras de France-télévison. Extraits :
La violence des migrants est hors de contrôle. Les camionneurs britanniques ont été menacés par les demandeurs d’asile brandissant des tronçonneuses, des barres de fer et de blocs de béton à l’extérieur du port, secteur qui a été décrit comme une «zone de guerre ». Les policiers ne sont pas assez nombreux et ils sont épuisés. Cela fait plus d’un an que je demande à l’armée d’intervenir. Aujourd’hui, il n’y a pas de système de vérification des antécédents, nous ne savons pas qui sort et qui s’en va. Le nombre de migrants à Calais a gonflé à plus de 9000, (soit 2000 de plus qu’en juillet.
Le gouvernement ne veut pas savoir ce qui se passe réellement dans les camps de migrants, et il ne se rend pas compte à quel point la vie quotidienne est devenue difficile.

Voilà, vous pouvez retrouver l’essentiel de ses dires sur le site : http://lesobservateurs.ch/2016/08/20/violence-migrants-de-controle-declare-maire-de-calais-attaquent-vehicules-blocs-de-beton/
Il faut que ce soit un média suisse qui en fasse l’écho, les français sont à ce point avachis  qu’ils ne réagissent même plus. Parti comme c’est parti, nous allons nous retrouver comme en mai 1940, pas de raison pour que le  scénario change. Houellebecq dans son livre « Soumission » (Flammarion) l’avait compris et remarquablement romancé.
La vidéo ci-dessous est allemande, elle signifie : Voyez comment par la violence ils veulent rejoindre l’Angleterre. Vous y voyez des CRS débordés par des bandes de sauvages encouragés dans leur furie par des collabos de la NPA (nouveau parti anticapitaliste) et des militants de No Border, des déjantés accrocs au métissage et à la haine du  blanc.
Pourquoi les CRS ne tirent-ils pas sur ces envahisseurs ? Une bonne salve et nous parions que les dégâts collatéraux seront directement répercutés jusque dans le bled le plus reculé de la musulmanie profonde. De quoi faire réfléchir les futurs candidats. Quant aux collabos de la NPA ou de No Border, ne pas les oublier eux non plus et plutôt deux fois qu’une.
Jean Raspail, l’auteur visionnaire du « Camp des Saints » (1973) a donné une interview à Breiz-Info (http://www.breizh-info.com/2016/08/20/48173/jean-raspail-cest-camp-saints-commence-interview-exclusive). Il est plus que temps de nous défendre, tout ce que Jean Raspail décrivait voici quarante ans se déroule aujourd’hui sous nos yeux incrédules.
Mais quand ils égorgeront nos filles et nos compagnes, il sera trop tard.
Dès lors, devant la carence de ceux qui ont pour mission de protéger leurs administrés, nous serons en droit (droit naturel) de nous armer pour nous défendre et bouter hors de nos frontières les envahisseurs. La résistance est un devoir sacré.
Si nous ne comprenons pas ces vérités élémentaires, si, à l’instar des peuples d’Europe de l’est, nous n’avons pas la volonté de nous défendre, nous ne méritons pas notre liberté. Et n’aurons qu’à nous soumettre.
Comme en 40 !