Que faire de toute cette racaille ?

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La coupe est pleine. Non pas celle du championnat de la ligue, mais de notre patience. Une fois de plus la lie des hordes afro-asiates a souillé Paris en toute impunité et exhibé sa morgue et sa violence à la France tout entière et, une fois de plus, nos édiles trouveront des mots, encore des mots et puis plus rien.
Nous avons un gouvernement où doivent cohabiter un ministre de l’Intérieur qui veut faire parler de lui (et, pour ce faire, parle beaucoup) et un garde des Sceaux qui veut vider les prisons parce que les prisonniers ne sont pas hébergés comme leur dignité l’exige. Pas étonnant, dès lors, que les déclarations de l’un ne seront pas suivies d’effet par l’autre. C’est la politique du « en même temps » de Macron Emmanuel.
La sécurité en France ressemble de plus en plus à celle des villes africaines. On ne compte plus les attaques ciblées contre les personnes âgées, les femmes seules ou accompagnées, les adolescents. La racaille attaque en meute, comme les loups, mais les loups sont des animaux nobles, eux tout juste des déchets. Le tout sur un fond de racisme anti-blanc parfaitement assumé chez les agresseurs. Ces derniers, souvent des mineurs shootés aux amphés, et dénués de toute morale.
Ajutons à cela l’empreinte brutale d’un islam primaire et analphabète et le cocktail est là qui explose et saccage tout.
Bien des commentateurs pointent du doigt le laxisme de la justice : après sermon d’usage, remise en liberté systématique et convocation à un an (et plus) devant le tribunal où des peines « aménageables » (non exécutées dans les trois-quarts des cas) seront le lot de ces racailles.
Alors que faire ?
Chez ces gens, accrocs à la violence, la seule réponse qui vaille procède de la même nature : rien ne sert de les rééduquer, ils sont irrécupérables. Par conséquent, il faut éliminer de la société civilisée ces métastases mortelles. Et pour ce faire, construire des prisons nouvelles, des centres de rétention, déchoir de leur nationalité et « remigrer  vers le pays d’origine ceux qui ne respectent pas leur pays d’accueil. Rétablir la peine de mort pour certains crimes et, pourquoi pas ? remettre au goût du jour la déportation vers les Kerguelen par exemple (climat revigorant, production de guano, compagnie de manchots … très écologique).
Un peuple, voyez-vous, mérite sa tranquillité, la paix, la concorde et le « vivre ensemble » qui soit autre chose que l’éloge du laxisme et de la soumission. Dès lors que des strates entières le narguent, il importe de répondre sans haine mais sans état d’âme non plus et les mettre soit au pas, soit en incapacité de nuire.
Le sentimentalisme, les scrupules ne sont pas de mise. La tolérance, le respect de l’autre, l’empathie sont les qualités du vainqueur. Quand il y a conflit, d’abord gagner, ensuite gérer avec modestie sa victoire !

Psg-Bayern : on fait quoi après ?

Qu’allez vous faire dimanche soir à l’issue du match Psg-Bayern ? Une promenade digestive dans les rues des villes, même moyennes, est déconseillée, il risque d’y avoir de la castagne, des débordements violents causés par de jeunes Suédois enthousiastes ou morts de chagrin. En ce qui nous concerne, nous préférerions cette dernière hypothèse, elle est tellement romantique …
Alors, détendez-vous, ne portez pas de masque chez vous en compagnie de votre âme sœur, ce n’est pas nécessaire quoi qu’en pensent les « experts » et leurs comités ad hoc, et faites comme si le monde extérieur n’existait pas, vous comprenez ou vous faut-il un dessin ?
Il y a une race qui rendrait un sérieux service à l’humanité en disparaissant tout entière sous ses masques pollués : les écolos !
Déjà qu’ils nous trompent, ces messieurs-dames et messieurs qui sont des dames, ce que vous ne savez pas, car, chez ces gens là, il y a plusieurs sexes et d’autres en préparation.
La nature, ils ne la connaissent qu’à travers les dessins des studios Disney, ils la voient vert pomme et bleue méditerranée, habitée par des elfes et des fées mignonnes et s’étonnent qu’ils puissent y avoir des loups carnivores et des guêpes tueuses, ce doivent être des créatures fascisantes …
Ce qui les motivent, ce sont les grandes causes « sociétales », comme le mariage des invertis, la parité hommes-femmes, la réception des hordes afro-asiates qui s’installent chez nous sans carton d’invitation et la dénonciation répétée ad nauseam du scandale de la suprématie blanche, de la colonisation et du taux de sel dans ces chips dont ils sont friands (leurs femelles ne font pas la cuisine, c’est en-dessous de leur dignité).
La mairesse ps-écolo de Rennes (c’est en Bretagne) a ainsi annulé le départ du Tour de France 2021 depuis sa ville, sous prétexte que « le Tour de France est dépassé » et que l’honneur rendu au vainqueur de l’étape par des hôtesses (vêtues de jaune et bleu) « dégrade l’image de la femme ».
Du coup, l’élue, sans doute pour consoler ses administrés qui, malgré son image dépassée, aiment encore le Tour de France, organise, à titre de consolation, une « cyclonudista ». L’image de femmes exhibant croupe et vulve est, n’en doutez point, revalorisée, n’en déplaise aux « nostalgiques d’un ordre ancien », comme votre humble serviteur.
Une autre élue écolo y va, elle aussi, de son exhibition. Dieu merci, pas à la « cyclonudista » ! Esther Benbassa ! C’est une sénatrice qui est tout-à-la fois de nationalité française, israélienne et turque. Faudrait savoir … comment servir trois maîtres à la fois ? Elle veut, cette madame, qu’il y ait encore plus de migrants qui viennent en France car, dit-elle, la démographie est en baisse et il faut donc de puissants immigrés pour féconder les françaises qui ne demandent que cela, ajoute-t-elle, sans doute envieuse. Et elle ajoute : les campagnes désertifiées seront ainsi repeuplées par de mignons métis. Mon Dieu, un kleenex et vite !
Là, elle se démasque, Esther ! Comme tous les écolos, elle rêve de voir les immigrés et migrants à la campagne chez les culs-terreux pour, ainsi, jouir entre soi, dans les métropoles branchées d’un univers à sa démesure où les femmes ne sont plus des femmes, les hommes encore moins des hommes et les bébés conçus dans des éprouvettes. Et instaurer un ordre nouveau où les ours ne mangent plus les brebis, les renards les poules et les loups le petit chaperon rouge. Ordre qui n’aura cours que dans leur univers aseptisé.
Bon, si vous ne savez quoi faire dimanche après le match, restez chez vous et faites un enfant à madame.
Et n’en déplaise à Esther !

Marie pleine de grâce

Dans le monde des réalités sensibles l’histoire aurait pu être celle-ci. Marie, une jeune Palestinienne, est visitée par l’ange Gabriel qui la salue, l’assure qu’elle est «κεχαριτωμενη, keharitoomenè» (toute favorisée) et lui annonce qu’elle est enceinte. Marie, depuis son enfance, est promise à un charpentier de Nazareth, Joseph. C’est une coutume ancestrale que de promettre une fille dès sa naissance. Un mois après les premières menstrues, elle est mariée. L’histoire ne nous dit pas non plus si Marie serait la première épouse de Joseph, les Juifs sont polygames ne l’oublions pas.
Quand l’ange lui révèle sa grossesse, Marie est impressionnée : comment pourrais-je être enceinte, moi qui n’ai point connu d’homme ? L’ange ne se démonte pas : un souffle saint viendra sur toi et une force du Très-Haut te couvrira d’ombre. C’est pourquoi celui qui va naître est saint et sera appelé fils de Dieu.
Figure archétypale de la vierge-mère, voyons comment Marie,  mère de Dieu, occupe cette place privilégiée.
Dans le monde profane, les vierges ne sont jamais enceintes, les morts ne ressuscitent pas et si les malades guérissent, c’est grâce aux médecins. La réalité quand elle est sensible, ne souffre aucune exception.
Les textes sacrés ne sont pas historiques, ils ne déroulent pas dans l’espace et le temps un récit linéaire. Ils illustrent une réalité qui dépasse les sens ordinaires et se tient dans un « présent éternel ». Ils procèdent du « monde imaginal »
C’est le philosophe Henri Corbin qui a développé ce concept, qu’il décrit comme suit :
 La fonction du mundus imaginalis et des Formes imaginales se définit par leur situation médiane et médiatrice entre le monde intelligible et le monde sensible. D’une part, elle immatérialise les Formes sensibles, d’autre part, elle « imaginalise » les Formes intelligibles auxquelles elle donne figure et dimension. Le monde imaginal symbolise d’une part avec les Formes sensibles, d’autre part avec les Formes intelligibles. C’est cette situation médiane qui d’emblée impose à la puissance imaginative une discipline impensable là où elle s’est dégradée en « fantaisie », ne secrétant que de l’imaginaire, de l’irréel, et capable de tous les dévergondages. 
Les paroles de l’ange se déclinent sur ce mode. Le souffle et l’ombre font référence à cette descente par palier de la lumière divine, monde après monde. Marie, à travers l’Annonciation, donne sa figure et sa dimension à la forme intelligible de la vierge-mère qui donne naissance à l’homme-Dieu.
Homme-Dieu et Vierge-Mère, indissolublement lié dans un monde qui n’est ni celui empirique des sens, ni le monde abstrait de l’intellect. Marie est l’image de l’incarnation de l’absolu dans le relatif, de la transcendance dans l’immanence.
La réponse de Marie est à la mesure de la gloire qui l’attend : vois, je suis la servante du Seigneur, qu’il me soit fait selon ta parole. Elle ne pose plus de « pourquoi ? », ni de « comment ? ». 
Marie, médiatrice entre le ciel et la terre, entre Dieu et les hommes, trait qui relie le relatif à l’absolu. Elle est, en ce quinze août, au moment où la mère-terre nous offre à profusion ses fruits les plus mûrs, le fruit immaculé de la création divine. Annonciatrice, elle est déjà ce que nous sommes en puissance.
Femme porteuse de Dieu (Theotokos –maison de Dieu), elle devient à elle seule la « gloire qui convient à Dieu », l’ornement de Sa création, la transfiguration annoncée de l’humanité.
Le culte marial nous est proche précisément par cette humanité arrachée à l’immanence. Elle est l’image de la créature réintégrée dans son état édénique, la promesse de l’éternité heureuse dans la communion avec Dieu et tous les Dieux.
… toutes les génération m’appelleront l’Heureuse… (Luc. 1.48)

Liban : Macron part en voyage

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Le Liban est un pays ami que l’on doit respecter, ce que n’a manifestement pas compris Emmanuel Macron qui, dès l’annonce de la catastrophe, se précipite sur cette actualité toute chaude pour s’exhiber devant les caméras et faire la leçon à ses pauvres gens encore traumatisés par ce qui leur arrive. Si ce n’est pas de l’indécence, c’est de l’obscénité.
Les Russes, eux, étaient parfaitement réactifs. Alors que Macron débarquait avec des journalistes et pérorait, ils acheminaient des vivres, des médicaments et un avion hôpital. Poutine n’a pas besoin de faire sa pub à Beyrouth.
Mondialiste compulsif, Macron a directement demandé qu’une enquête internationale soit diligentée séance tenante. Le président Aoun lui a sèchement répondu que cette dernière diluerait les responsabilités si elle ne les occulte pas. Le Liban est un pays indépendant et majeur qui n’a pas à faire sous-traiter par des fonctionnaires internationaux ses prérogatives policières.
Et pour bien se faire remarquer, voilà-t’y pas que le mari de madame Trogneux fait la leçon aux Libanais qui doivent « changer le système », « opérer des réformes » et patati et patata. Son message ne passant plus en France, autant l’exporter à l’étranger, n’est-il pas ? Comment qualifier pareil comportement, un chef d’Etat en visite qui pointe du doigt ses hôtes ? Si c’est pas du néo-colonialisme, c’est quoi ?
Monsieur Aoun va plus loin, il parle carrément d’un missile qui aurait fait exploser l’immeuble du port de Beyrouth et demande les vues satellites de ce dernier au moment de l’explosion. Mon petit doigt me dit qu’il n’est pas sûr que sa demande soit satisfaite.
Un missile envoyé par qui ? D’aucuns parlent de la Turquie toujours avide de se répandre dans ce qui fut jadis son empire ; d’autres, comme Thierry Meysan, accusent ouvertement Israël et sa volonté de maintenir ses voisins dans le chaos le plus complet, quitte à le créer lui-même.
Le débarquement médiatique de Macron a été diversement apprécié en France, le citoyen lambda confronté au virus, à une crise qui s’aggrave chaque jour davantage, aux licenciement qui s’en suivent, à l’insécurité qui lui pourrit la vie, n’en a que faire des gesticulations de cet enfant gâté au pays des cèdres. Il souhaite que le gouvernement fasse un peu moins de communications et agisse avec force et vigueur face aux calamités qui l’accablent.
Mais, sans doute, est-ce trop demander.