Eurovision : la France l’a dans le baba

Bilal Hassani. (A gauche …)

C’est le lobby gay, transgenre, lesbien, qui a mis le grappin sur l’Eurovison et nous impose désormais ses névroses et hallucinations déjantées.
Ce concours sexagénaire n’a jamais brillé par la qualité de ses exhibitions, ce n’est pas lui qui nous a légué des chansonnettes inoubliables, mis à part peut-être  Les sucettes que Gainsbourg mis dans la bouche de la toute jeune France Gall.
C’est bien normal, les goûts et les couleurs sont radicalement différents entre des lourdauds d’Amsterdam et des Romains en goguette, des Anglais flegmatiques et des Slaves ombrageux, sans compter ces Israéliens psychotiques et autres Azerbaïdjanais dont on se demande depuis quand ils sont en Europe. La remarque vaut aussi pour les Australiens.
Donc, notre « héros » national qui répond au nom exotique de Bilal Hassani n’est arrivé que quatorzième. Mon Dieu, quelle déception ! Lui que des chroniqueurs voyaient déjà sur le podium et même à la première place. Pourtant elle était tellement mignonne, cette fiotte frétillante. Et belle avec ça dans sa longue robe blanche à traîne, paillettes, plumes (pas dans le cul, quand même !), lèvres gourmandes, regard de biche énamourée. Diction doucereuse et œillades appuyées. Quelle déception pour la France, sa culture, ses chansons, ses artistes, son prestige …


Madonna, la sexagénaire chanteuse, a fait une prestation elle aussi. Pas très réussie si l’on en croit les magazines. En plus elle a fâché les organisateurs en revêtant ses danseurs d’un drapeau palestiniens. C’était pas prévu. Faut dire que la valeureuse avait peur. Elle qui dit s’être convertie au judaïsme d’un rabbin gourou kabbaliste de bazar, craignait que les Juifs et les Palestiniens, pour une fois unis, ne lui fassent du mal. Avec tout le silicone qu’elle trimballe, le moindre choc la ferait exploser
Elle en est ressortie indemne.
Dommage !

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