Jean Raspail

Jean Raspail, auteur notamment du "Camp des saints", roman culte ...

Il nous a quittés au moment où, un peu partout, des milliers de métèques défilaient bruyamment pour dénoncer la suprématie des Blancs et les crimes dont, paraît-il, nos ancêtres sont à jamais coupables.
Il est parti alors qu’une rage crapuleuse défigurait les rues de nos capitales et insultait notre passé.
Auprès d’eux, complices jouissifs de leurs exactions, des collaborateurs dégénérés et soumis d’avance.
Ces attaques meurtrières contre notre génie qui a donné le « la » au monde, Jean Raspail l’avait prédit dès 1973 dans « Le  Camp des Saints », fresque apocalyptique de l’effondrement de la civilisation et du règne des Barbares.
Il en appelait à la résistance, à la création d’isolats, autant de Patagonie dans lesquelles survivraient l’esprit et l’âme de ce qui fit notre grandeur.
Il se voulait « ultra-réactionnaire », opposant total de ce monde moderne et ses vicieuses inversions des valeurs.
Il ne verra sa chute et, si le Dieu le veult, d’où il se trouve, un souffle nouveau et purificateur animera des cœurs désormais ranimés par son exemple. Déjà, d’un peu partout, sortent de l’ombre des guerriers aux armes affûtées, à la volonté chevillée à l’âme, prêts à vaincre ou mourir dans cet ultime Armageddon.
« La Patagonie, c’est ailleurs, c’est autre chose, c’est un coin d’âme caché, un coin de cœur inexprimé. Ce peut être un rêve, un regret, un pied de nez. Ce peut être un refuge secret, une seconde patrie pour les mauvais jours, un sourire, une insolence. Un jeu aussi. Un refus de conformité. Sous le sceptre brisé de Sa Majesté, il existe mille raisons de prêter hommage, et c’est ainsi qu’il y a plus de Patagons qu’on ne croit, et tant d’autres qui s’ignorent encore. ». Jean Raspail, Le Moniteur de Port-Tounens.

Amazon.com: Le Camp des saints (French Edition) eBook: RASPAIL ...

Raspail parmi nous

Il nous a quittés au moment où, à Paris, des milliers de métèques défilaient bruyamment pour dénoncer la suprématie des Blancs et les crimes dont, paraît-il, ils sont à jamais coupables.
Il est parti alors qu’une rage crapuleuse défigurait les rues d’une capitale et insultait notre passé.
Auprès d’eux, complices jouissifs de leurs exactions, des collaborateurs dégénérés et soumis d’avance.
Ces attaques meurtrières contre ce génie qui a donné le « la » au monde, Jean Raspail l’avait prédit dès 1973 dans le « Camp des Saints », fresque apocalyptique de l’effondrement de la civilisation et du règne des Barbares.
Il en appelait à la résistance, à la création d’isolats, autant de Patagonie dans lesquelles survivraient l’esprit et l’âme de ce qui fit notre grandeur.Il se voulait « ultra-réactionnaire », opposant total à ce monde moderne et ses vicieuses inversions des valeurs.
Il ne verra sa chute et sans doute que, d’où il se trouve, un souffle nouveau et purificateur haussera nos coeurs.
« La Patagonie, c’est ailleurs, c’est autre chose, c’est un coin d’âme caché, un coin de cœur inexprimé. Ce peut être un rêve, un regret, un pied de nez. Ce peut être un refuge secret, une seconde patrie pour les mauvais jours, un sourire, une insolence. Un jeu aussi. Un refus de conformité. Sous le sceptre brisé de Sa Majesté, il existe mille raisons de prêter hommage, et c’est ainsi qu’il y a plus de Patagons qu’on ne croit, et tant d’autres qui s’ignorent encore. »

Jean Raspail, Le Moniteur de Port-Tounens.

Calais : l’invasion hors contrôle

Pendant que l’on vous saoule avec des Jeux Olympiques de merde, des burkinis à boudins, la vermine afro-asiate, elle, continue d’affluer sur nos terres opulentes. Bien sûr, les médias ne vous en parlent pas, si ce n’est pour vous informer, trémolos dans la voix, que des pauvres gens sont morts noyés dans la mer-méditerranée et sortez les kleenex.
Dans notre beau et si malheureux pays, la ville de Calais n’en peut plus, ce n’est pas votre serviteur qui l’écrit, mais la maire de Calais, une madame Natacha Bouchart qui, il n’y a guère, prenait des gants pour évoquer cette engeance. Aujourd’hui, déniaisée, elle  y va franco face aux caméras de France-télévison. Extraits :
La violence des migrants est hors de contrôle. Les camionneurs britanniques ont été menacés par les demandeurs d’asile brandissant des tronçonneuses, des barres de fer et de blocs de béton à l’extérieur du port, secteur qui a été décrit comme une «zone de guerre ». Les policiers ne sont pas assez nombreux et ils sont épuisés. Cela fait plus d’un an que je demande à l’armée d’intervenir. Aujourd’hui, il n’y a pas de système de vérification des antécédents, nous ne savons pas qui sort et qui s’en va. Le nombre de migrants à Calais a gonflé à plus de 9000, (soit 2000 de plus qu’en juillet.
Le gouvernement ne veut pas savoir ce qui se passe réellement dans les camps de migrants, et il ne se rend pas compte à quel point la vie quotidienne est devenue difficile.

Voilà, vous pouvez retrouver l’essentiel de ses dires sur le site : http://lesobservateurs.ch/2016/08/20/violence-migrants-de-controle-declare-maire-de-calais-attaquent-vehicules-blocs-de-beton/
Il faut que ce soit un média suisse qui en fasse l’écho, les français sont à ce point avachis  qu’ils ne réagissent même plus. Parti comme c’est parti, nous allons nous retrouver comme en mai 1940, pas de raison pour que le  scénario change. Houellebecq dans son livre « Soumission » (Flammarion) l’avait compris et remarquablement romancé.
La vidéo ci-dessous est allemande, elle signifie : Voyez comment par la violence ils veulent rejoindre l’Angleterre. Vous y voyez des CRS débordés par des bandes de sauvages encouragés dans leur furie par des collabos de la NPA (nouveau parti anticapitaliste) et des militants de No Border, des déjantés accrocs au métissage et à la haine du  blanc.
Pourquoi les CRS ne tirent-ils pas sur ces envahisseurs ? Une bonne salve et nous parions que les dégâts collatéraux seront directement répercutés jusque dans le bled le plus reculé de la musulmanie profonde. De quoi faire réfléchir les futurs candidats. Quant aux collabos de la NPA ou de No Border, ne pas les oublier eux non plus et plutôt deux fois qu’une.
Jean Raspail, l’auteur visionnaire du « Camp des Saints » (1973) a donné une interview à Breiz-Info (http://www.breizh-info.com/2016/08/20/48173/jean-raspail-cest-camp-saints-commence-interview-exclusive). Il est plus que temps de nous défendre, tout ce que Jean Raspail décrivait voici quarante ans se déroule aujourd’hui sous nos yeux incrédules.
Mais quand ils égorgeront nos filles et nos compagnes, il sera trop tard.
Dès lors, devant la carence de ceux qui ont pour mission de protéger leurs administrés, nous serons en droit (droit naturel) de nous armer pour nous défendre et bouter hors de nos frontières les envahisseurs. La résistance est un devoir sacré.
Si nous ne comprenons pas ces vérités élémentaires, si, à l’instar des peuples d’Europe de l’est, nous n’avons pas la volonté de nous défendre, nous ne méritons pas notre liberté. Et n’aurons qu’à nous soumettre.
Comme en 40 !

La Hache des Steppes

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En 1973 paraît  Le Camp des Saints, livre prophétique de Jean Raspail dans lequel il raconte l’invasion de l’Europe par un million de migrants indiens qui s’échouent sur la plage de Saint Tropez. Avant-garde d’autres hères qui, en deux temps trois mouvements, prennent possession du continent, aidés par la candeur complice et criminelle des élites politiques, religieuses, artistiques et dégénérées de tout poil. Prophétie qu’aujourd’hui nous vivons au quotidien.  Ce livre, bien sûr, a fait parler de lui et son auteur fut traité de tous les noms. Les bobos  décadents tenaient déjà le haut du pavé.
Un an après, La hache des steppes est édité et passe plutôt inaperçu après le scandale du Camp des Saints. Ce livre qui consacre la maturité littéraire de son auteur, se présente volens nolens comme une suite en filigrane du précédent. Jean Raspail nous retrace la fin de quelques peuples agonisants. Caraïbes d’Amérique, Aïnos du Japon, communautés catholiques primitives d’Asie, Danois des Indes, Français de Russie etc. Est-ce une coïncidence, une volonté de nous faire entrevoir la fin qui guette l’homme blanc, sa civilisation, sa religion ? Toujours est-il que le récit de ces peuples derniers nous incite à la réflexion.
Voyez, quarante-deux après, la dégoûtante commémoration du centenaire de Verdun, qui passera dans l’Histoire sous le nom : jogging entre les tombes. Quand les peuples ne savent plus, ne veulent plus honorer leurs morts comme il se doit et comme le veut la tradition, ils sont  décadents et l’agonie les guette. A Verdun, il y eut une messe célébrée par l’évêque du lieu. Aucune personnalité officielle ne s’est dérangée. Aucune. Laïcité oblige. Pour ceux qui ne le savent, la laïcité est la religion officielle de la raie publique. Quand un peuple n’a plus de religion, il n’a, par voie de conséquence, plus de civilisation.
Quand il fut discuté de la rédaction de cette « constitution européenne », la France, la première et la plus virulente, s’est opposée de toutes ses forces à la reconnaissance des racines chrétiennes de notre continent. La France est un pays, un peuple, dégénéré.
Aujourd’hui,  les choses deviennent plus claires et parlantes. La Turquie a rendu, le temps du Ramadan, Sainte Sophie au culte musulman (elle est un musée). Provocation du Sultan. Ne vous imaginez pas un instant qu’une excellence européenne se permettrait la moindre remarque. La Turquie musulmane est notre alliée au sein de l’Otan, la Russie chrétienne orthodoxe notre ennemie. Non ?
Et ce Pape Bergoglio qui passe son temps à nous adjurer de prendre soin de ceux qui prendront notre place et révèrerons Muhammad au lieu de Jésus, dégénéré lui aussi ?
Et que penser de ces politiques, supposés penseurs et autres sophistes de tous poils qui nous bassinent toute la sainte journée avec leur « padamalgame », « métissage obligé », « société plurielle », « tolérance universelle » et patati et patata … ?
La hache, dont question dans l’opus de Jean Raspail, est le témoin du temps passé et de la grandeur évanouie dans la nuit des temps. Le talisman qui reste au bout de toutes les avanies. Si nous ne nous réveillons pas, si nous ne nous en servons plus, nous ne serons que quelques tribus avachies, parquées dans des réserves que les touristes du dimanche, hilares, viendront photographier.
Ce salutaire réveil,  ce sera l’œuvre d’une petite minorité.  La masse, c’est connu, suit celui qui lui montre la voie, elle ne juge pas, elle en est incapable, elle ne dénonce pas les faux prophètes, elle ne les connaît pas. Il suffit d’une minorité décidée pour remettre les pendules à l’heure et les responsables de la gabegie au trou.
Et bien profond !

Un Noël d’espérance et de combat

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Noël est la fête du renouveau et signifie en grec nouveau soleil. C’est aussi traditionnellement le temps où survient un Rédempteur, en ce qui nous concerne, il est divin et règnera sur le monde. Ce que ne comprennent plus les mécréants qui nous dirigent. Je reviens de Bruxelles où le bourgmestre de la capitale de l’’Europe a décidé que désormais le marché de Noël ne le serait plus sinon celui «de l’hiver », il y a dix-sept pour cent de muslims à Bruxelles et il faut bien vivre ensemble, n’est-ce pas ? Les talibans laïcs ne sont pas que français. Avec de pareilles larves, on ira loin !
Le vœu que je formule à vous tous, en ce renouveau du feu solaire, c’est que nous en finissions avec ces insectes qui nous dirigent et empoisonnent nos sens.
En France, tenez, cette madame Taubira ministricule de la Justice qui, vicieusement, derrière le dos de Valls et Hollande, déclare à un journal algérien que la déchéance de nationalité pour les terroristes condamnés sera abandonnée dans le projet de réforme de la Constitution. Il faudrait que de part et d’autre on sache quoi. Ou bien madame Taubira s’inscrit contre la ligne gouvernementale et elle s’en va, ou bien le président de la République réagit en patron et la révoque. Ce petit jeu dans lequel excelle la guyanaise commence à faire …
Et puis, ces petits besogneux qui font de la communication bien plus que de la politique, réalisent-ils que la sécurité des Français et des Européens exige l’arrêt total de cette immigration sauvage qui nous envahit ouvertement depuis un an ? Et qu’il est temps de mettre au pas une hystérique comme madame Merkel. Le grand remplacement prédit par Jean Raspail et Renaud Camus est bel et bien une criante réalité dont la nocivité vient d’être mise en exergue par les attentats de Paris à présent que l’on sait que la réserve de recrutement des terroristes gisait précisément dans cette masse anonyme qui déferle sur notre continent.
L’Afrique dégouline et l’Europe lui sert d’égout comme l’a écrit Jean Raspail. Faut croire que leur fonction d’éboueur sied à nos excellences.
Sans changer d’Europe, nous ne parviendrons jamais à rien. A cette Europe innervée, aseptisée, absente de Bruxelles, nous devons opposer une paneurope constituée de pays souverains ayant entre eux une histoire commune et des structures mentales jumelles. En Europe occidentale, reconstituons le Saint-Empire Germanique, étendu à la France, le Portugal et l’Espagne. Voilà des populations que réunissent une religion commune, le catholicisme, l’Histoire et les structures mentales héritées du grec et du latin. Cette Europe devra être autonome, impériale et communautaire. Elle choisira ses alliances et privilégiera celle avec la Russie et les composantes orientales du continent. Là se situe notre avenir de peuples indépendants, là est le champ de notre combat.
Vous l’aurez compris, beaucoup reste à faire avant que la victoire couronne nos efforts, mais point n’est besoin d’espérer pour entreprendre ni de réussir pour persévérer.
Joyeux Noël dans la joie de l’arrivée du Sauveur !